LES CARNETS DU SCRIBE 2
L’agresseur qui nous inflige des exactions
que nous n’avons pas la force de rendre
est phantasmé comme
un être démoniaque (ou un être divin)
pour être auréolé de la toute-puissance
des pulsions sadiques qui nous inhibent
et qui projetées sur son être
lui confèrent son caractère d’être sacré.
Les maitres du monde qu’il nous est donné
d’observer dans leur œuvre de démolition
sont des parfaits sadiques que le processus
effréné d’accumulation laisse indifférents
aux malheurs des êtres humains.
Malheurs qui résultent
de la férocité de la lutte pour l’ « avoir » !
Le comble du sadisme c’est de s’enfermer
dans le système sadique comme
on s’enferme dans un blockauss
en refusant toute activité symboligène.
Le pessimisme absolu qui ne croit pas
en la possibilité
de l’amélioration des choses
est l’essence même du parfait sadique.
Il est temps de penser à la refondation de
ce monde réduit en déchet par
l’activité sadique des maitres
qui n’ont pas fait leur entrée
dans le système symbolique.
La société humaine ayant émergé avec
l’activité plastique créatrice de formes
préverbales : constituants du Langage
il est évident que la refondation exige
le recours à l’activité plastique
créatrice de formes préverbales
appelées à restructurer le Langage vide
et à regénérer les hommes « fossilisés ».
En étant entièrement investi et « maitrisé » par
les pulsions sadiques
le parfait sadique ne dispose pas
d’un espace intérieur libre
dans lequel il puisse se projeter
et faire é-mer-ger des possibles
susceptibles de
lui donner l’espoir dans le futur.
D’où la cruauté qui définit le parfait sadique.
Le parfait sadique est un mort-vivant en tant
que « support-vivant » des pulsions sadiques.
L’essentiel c’est la création qui révèle
l’homme à lui-même
et le conforte dans son narcissisme :
non la reconnaissance
de l’Autre « aveugle » à l’altérité
L’existence de l’artiste créateur
est « castratrice » pour l’Autre
« accroché »
au phantasme de toute-puissance.
Les maitres du monde qu’il nous est donné
d’observer dans leur œuvre de démolition
sont des parfaits sadiques que le processus
effréné d’accumulation laisse indifférents
aux malheurs des êtres humains.
Malheurs qui résultent
de la férocité de la lutte pour l’ « avoir » !
Le comble du sadisme c’est de s’enfermer
dans le système sadique comme
on s’enferme dans un blockauss
en refusant toute activité symboligène.
Le pessimisme absolu qui ne croit pas
en la possibilité
de l’amélioration des choses
est l’essence même du parfait sadique.
Il est temps de penser à la refondation de
ce monde réduit en déchet par
l’activité sadique des maitres
qui n’ont pas fait leur entrée
dans le système symbolique.
La société humaine ayant émergé avec
l’activité plastique créatrice de formes
préverbales : constituants du Langage
il est évident que la refondation exige
le recours à l’activité plastique
créatrice de formes préverbales
appelées à restructurer le Langage vide
et à regénérer les hommes « fossilisés ».
En étant entièrement investi et « maitrisé » par
les pulsions sadiques
le parfait sadique ne dispose pas
d’un espace intérieur libre
dans lequel il puisse se projeter
et faire é-mer-ger des possibles
susceptibles de
lui donner l’espoir dans le futur.
D’où la cruauté qui définit le parfait sadique.
Le parfait sadique est un mort-vivant en tant
que « support-vivant » des pulsions sadiques.
L’essentiel c’est la création qui révèle
l’homme à lui-même
et le conforte dans son narcissisme :
non la reconnaissance
de l’Autre « aveugle » à l’altérité
L’existence de l’artiste créateur
est « castratrice » pour l’Autre
« accroché »
au phantasme de toute-puissance.
Les maitres du monde qu’il nous est donné
d’observer dans leur œuvre de démolition
sont des parfaits sadiques que le processus
effréné d’accumulation laisse indifférents
aux malheurs des êtres humains.
Malheurs qui résultent
de la férocité de la lutte pour l’ « avoir » !
Le comble du sadisme c’est de s’enfermer
dans le système sadique comme
on s’enferme dans un blockauss
en refusant toute activité symboligène.
Le pessimisme absolu qui ne croit pas
en la possibilité
de l’amélioration des choses
est l’essence même du parfait sadique.
Il est temps de penser à la refondation de
ce monde réduit en déchet par
l’activité sadique des maitres
qui n’ont pas fait leur entrée
dans le système symbolique.
La société humaine ayant émergé avec
l’activité plastique créatrice de formes
préverbales : constituants du Langage
il est évident que la refondation exige
le recours à l’activité plastique
créatrice de formes préverbales
appelées à restructurer le Langage vide
et à regénérer les hommes « fossilisés ».
En étant entièrement investi et « maitrisé » par
les pulsions sadiques
le parfait sadique ne dispose pas
d’un espace intérieur libre
dans lequel il puisse se projeter
et faire é-mer-ger des possibles
susceptibles de
lui donner l’espoir dans le futur.
D’où la cruauté qui définit le parfait sadique.
Le parfait sadique est un mort-vivant en tant
que « support-vivant » des pulsions sadiques.
L’essentiel c’est la création qui révèle
l’homme à lui-même
et le conforte dans son narcissisme :
non la reconnaissance
de l’Autre « aveugle » à l’altérité
L’existence de l’artiste créateur
est « castratrice » pour l’Autre
« accroché »
au phantasme de toute-puissance.
Les maitres du monde qu’il nous est donné
d’observer dans leur œuvre de démolition
sont des parfaits sadiques que le processus
effréné d’accumulation laisse indifférents
aux malheurs des êtres humains.
Malheurs qui résultent
de la férocité de la lutte pour l’ « avoir » !
Le comble du sadisme c’est de s’enfermer
dans le système sadique comme
on s’enferme dans un blockauss
en refusant toute activité symboligène.
Le pessimisme absolu qui ne croit pas
en la possibilité
de l’amélioration des choses
est l’essence même du parfait sadique.
Il est temps de penser à la refondation de
ce monde réduit en déchet par
l’activité sadique des maitres
qui n’ont pas fait leur entrée
dans le système symbolique.
La société humaine ayant émergé avec
l’activité plastique créatrice de formes
préverbales : constituants du Langage
il est évident que la refondation exige
le recours à l’activité plastique
créatrice de formes préverbales
appelées à restructurer le Langage vide
et à regénérer les hommes « fossilisés ».
En étant entièrement investi et « maitrisé » par
les pulsions sadiques
le parfait sadique ne dispose pas
d’un espace intérieur libre
dans lequel il puisse se projeter
et faire é-mer-ger des possibles
susceptibles de
lui donner l’espoir dans le futur.
D’où la cruauté qui définit le parfait sadique.
Le parfait sadique est un mort-vivant en tant
que « support-vivant » des pulsions sadiques.
L’essentiel c’est la création qui révèle
l’homme à lui-même
et le conforte dans son narcissisme :
non la reconnaissance
de l’Autre « aveugle » à l’altérité
L’existence de l’artiste créateur
est « castratrice » pour l’Autre
« accroché »
au phantasme de toute-puissance.
Ce n’est pas l’argent en tant que tel qui a tué le père
porteur de Verbe
mais le système négrier (sans initiation)
qui a fait la promotion déshumanisante
du système libéro-capitaliste :
à « dia-boliser » la structure symbolique inaugurale.
En faisant l’économie de la castration symbolique
les usurpateurs se condamnèrent irrémédiablement
à l’ errance sans fin (que pointe le concept kantien
d’ « asociable- sociabilité »)
autour des murs de la société des Pères-fondateurs.
La Culture dont les hommes actuels se soutiennent
pour se prévaloir d’être des êtres humains
est le legs des Pères fondateurs qui
étaient porteurs de Verbe.
L’homme non adapté
à la société actuelle (sans initiation)
ne peut s’empêcher de se demander
pourquoi ces porteurs de verbe
ne se rencontrent plus aujourd’hui
au point que non entretenue
la Culture qu’ils ont léguée
se trouve en voie de dé-construction
faisant régresser l’humanité à l’âge de la barbarie.
Pour que la « structure symbolique » :
terrain propice à l’éclosion
de l’être humain
se mette en place
il est nécessaire
qu’un père porteur de Verbe
« médiatise » le conflit-duel
(mère-enfant)
et œuvre à sa structuration :
conditions nécessaires que
ne parait pas remplir
le système libéro-capitaliste actuel.
La solution débile à laquelle les hommes ont recours
pour résoudre leur « malaise d’exister »
c’est de projeter celui-ci sur les autres
afin qu’ils le résolvent à leur place.
Demeurés immatures par manque
d’institution initiatique
les hommes ont gardé le reflexe
de s’en remettre aux autres
pour faire leur « toilette anale »
comme la mère de leur enfance.
Telle est l’origine assignable aux
conflits endémiques qui mettent à mal la société.
La solution à l’angoisse de l’« être de pulsions »
habité par un vide persécuteur à l’origine de
son besoin lancinant de « sentiment d’être »
réside incontestablement dans l’état de
structuration symbolique au moyen de
l’activité créatrice formes préverbales
constituants du Langage dont
la fonction première est de structurer
le candidat à la vie sociale
et de le protéger contre l’angoisse de
mort omni-présente à la vie dans la Nature.
A l’origine l’homme est un « être de pulsions »
en mal du « sentiment d’être » qui l’égare
dans la recherche effrénée de possessions
symbolisées par le « messie-argent ».
Mais le capital lui-même ne gratifie pas
du sentiment d’être :
raison pour laquelle il n’y a pas de fin
à l’accumulation qui exaspère plutôt
le vécu angoissant de vacuité
de l’être « fixé » au stade primitif qui
n’a pas accédé à la structuration symbolique.
L’entrée dans le champ symbolique de l’enfant
inféodé à la mère toute-puissante
postule la séparation de l’enfant
la mise en formes préverbales par celui-ci
(des pulsions anales-sadiques
constituantes de la mère toute-puissante)
et leur mise en mots par la verbalisation.
L’enfant qui fait du modelage démembre
la mère toute-puissante
et la reconstitue comme matière du Langage.
Les liens affectifs et symboliques
étant brisés
les éléments du système familial
se trouvent affranchis et c’est
en « électrons libres » qu’ils
se baladent dans l’espace social.
Tel est le mode de genèse de
ces être dé-structurés : les fous.
L’entrée dans le champ symbolique de l’enfant
inféodé à la mère toute-puissante
postule la séparation de l’enfant
la mise en formes préverbales par celui-ci
(des pulsions anales-sadiques
constituantes de la mère toute-puissante)
et leur mise en mots par la verbalisation.
L’enfant qui fait du modelage démembre
la mère toute-puissante
et la reconstitue comme matière du Langage.
Les liens affectifs et symboliques
étant brisés
les éléments du système familial
se trouvent affranchis et c’est
en « électrons libres » qu’ils
se baladent dans l’espace social.
Tel est le mode de genèse de
ces être dé-structurés : les fous.
Devant la « Grande Mère des origines » dont
l’image transmise par phylogenèse continue
d’habiter l’inconscient des hommes actuels
le patient a le ressenti d’être un « avorton »
qui se demande si la Maitresse du monde
lui permettra de survivre
et c’est avec bonheur qu’il se laisse aller
à la fusion-absorption qui signe son retour
dans les entrailles de la mère toute-puissante.
l’émergence à la société des hommes postule
la visitation du Verbe à la faveur de laquelle
le postulant se dote de l’instrument adéquat
de « médiatiser » son contact mortifère
avec la mère toute-puissante
par la création de formes préverbales
dont la réappropriation salutaire est
à l’origine de l’apparition de l’être humain.
Il n’y a pas moyen de communiquer avec les « êtres de pulsions »
qui sont privés de Langage :
on ne peut que se léser à leur contact : :on passe
de l’ « enfer » des êtres de pulsions à la société
des « êtres Langage »
grâce à l’investissement du Verbe qui favorise
le déplacement des pulsions dans le champ de
la métaphore où elles sont réduites en déchet
dont la malléabilité permet la » structuration »
créatrice de formes préverbales « constituants » du Langage.
Lieu où « ça parle » sans paroles
par le Langage des émotions
le visage humain est
l’œuvre d’art où se reflète
l’âme de l’artiste-créateur.
Le visage humain est
le lieu initial
par où l’artiste créateur est
introduit au champ symbolique.
A l’origine était la mère toute-puissante qui
n’avait pas de mari mais des êtres-fétiches
qu’elle utilisait comme des instruments
de jouissance.
C’est par la magie du modelage que l’être
investi par le Verbe : « possédé » réalisa
la mise en formes préverbales
de la matière métaphore de la mère anale
que l’être « possédé » dégagea le défilé
des signifiants constitutifs du Langage :
merveilleux produit de la mise à mort
et de la résurrection symboliques
de la mère toute-puissante des origines.
Le fou est un « électron libre » pour être
affranchi de toute structure
singulièrement de la structure familiale
qui assujettit au « Nom du Père »
source d’obligations morales
envers soi-même et envers les autres.
L’ « individu »n’existe pas :
telle est le leçon d’initiation
qu’administre la « mésaventure » du fou.
Le contact prolongé avec un « fou » est aliénant
parce que le fou est un chaos de pulsions
qui fonctionnent sur le mode mortifère.
Alors que le contact prolongé avec
une personne structurée est structurant
le contact prolongé avec un être
déstructuré est déstructurant car
étant fou il n’a pas la maitrise de ses pulsions.
L’argent est l’illusion de lien qui surgit dans le trou
ouvert par la destruction des relations affectives
et symboliques.
l’objectif délirant qui « sous-tend »
l’avènement de ce nouveau messie
est d’exorciser les persécutions du trou laissé
par la destruction
du système symbolique qui structurait la société.
La mère non structurée est un être délirant qui
aliène l’enfant en l’accusant d’être dévorant
après avoir projeté sur son être ses propres
pulsions orales-sadiques.
L’enfant dévorant est le substitut de la mère
qui le traite comme elle l’a a été par sa mère.
Ainsi fait rage entre la mère et l’enfant
la lutte sans fin des monstres
pour savoir qui finalement dévorera qui..
Une mère qui n’a pas fait son entrée
dans le système symbolique
ne vit pas la relation au sein
du point de vue symbolique
mais comme un fait de réalité
dans laquelle l’enfant la dévore :
d’où la réaction de défense qui
la pousse à infliger des privations
de peur phantasme t-elle
d’être vidée de sa substance vitale.
Telle est l’origine de ces relations
où la mère dévorante « diabolise »
l’enfant sur qui elle projette
ses propres pulsions orales-sadiques
L’être non structuré se protège de la persécution
d’une réalité intolérable
par le déni et la surcompensation de celle-ci
qui prend l’apparence du monde imaginaire
où tout est le contraire de ce qu’il fuit.
Telle est sans doute l’’origine du phantasme
de « subversion des valeurs »
dont le facteur déclenchant
est certainement le déni d’une réalité dérisoire.
Les hommes dans la société de consommation
sont des êtres dévorants qui « réalisent »
leurs pulsions orales-sadiques.
C’est la peur de basculer dans
le « trou-noir » de la psychose
qui pousse les hommes aliénés
à lutter avec acharnement pour
la pérennité de ce système schizophrène
que l’idéologie de consommation idéalise !.
J’ai vu Kali la cruelle
s’acharner sur
un enfant
et le dévorer.
J’ai plusieurs fois
vu Kali la cruelle
dans ses œuvres
et d’impuissance
j’ai versé des larmes.
Les hommes des sociétés sans initiation
auxquels un maitre d’initiation n’a pas
« injecté » la Loi
par définition ne sont pas structurés
car la structuration des pulsions
postule l’activité créatrice de la Loi
« internalisée » en même temps que
la représentation du maitre d’initiation.
La grosse mystification est de prétendre
qu’on peut être structuré sans le passage
obligatoire par la castration symbolique. .
Le Langage est constitué par
le défilé des « beaux-restes »
dont la fonction
est d’ « inter-dire »
L’être humain
est le « fils » du Langage.
Ceux qui refusent de s’engager dans le champ
(de la métaphore) et sont « réfractaires »
à la manipulation de la matière picturale
ce substitut des « matières fécales »
opposent à la vérité un déni à l’initiation :
« technique de production des hommes ».
Car c’est par l’activité plastique créatrice
de formes préverbales
que l’ « être de pulsions » fait son entrée
dans le champ symbolique et s’ « humanise ».
Les créations originales constituent les portes
qui ouvrent l’entrée de la société des hommes.
Avec le « sous-tien » bienveillant du Verbe
le mort-vivant a le courage de se retourner
contre les esprits persécuteurs qui l’habitent
et de les affronte dans un combat libérateur :
l’activité créatrice dont les matériaux sont
les esprits occis et symbolisés en Langage
(structuré par les formes préverbales )
ce Pont symbolique que l’impétrant
édifie aux fins de « séparer-relier »
le monde des vivants de celui des morts.
A l’origine l’homme est habité par les esprits qu’il
ne maitrise pas :
en effet les morts qui « ne veulent pas mourir ».
C’est l’activité créatrice des formes préverbales
(éléments constituants du Langage)
qui a introduit la « distance » entre
les vivants et les morts
et refoulé ceux-ci hors des limites du conscient
(dans la cave de l’inconscient).
C’est ainsi que l’existant « assis à califourchon »
é-mer-ge de la termitière « voilée » des pulsions .
C’est un mort-vivant qui n’a pas
la « maitrise » de ses pulsions
qui arrache la vie aux vivants.
Pour tuer les vivants la mort
emprunte toujours la voie du
mort-vivant : son instrument.
L’apparition de l’être humain
postule l’initiation qui consiste
en la suspension des pulsions
dans le champ de la métaphore
leur réduction en déchet et
leur structuration symbolique
génératrice de Langage où
communient les êtres sociaux.
A juste titre nos ancêtres Kémites croyaient que « Maat »
ou Justice est le fondement ontologique du monde et
que l’instabilité prévaut parce que ceux qui sont lésés
voire niés dans leur essence mènent le juste combat
pour rétablir la Justice dans ses droits :
en exigeant réparation pour l’injustice
dont ils sont l’objet.
Il n’y a pas de fin aux conflits
parce que non initiés
les hommes basculent
inévitablement dans l’injustice.
Le bienfondé de l’initiation réside
dans sa capacité de « dé-voiler » Maat :
principe fondateur qui doit « sous-tenir »
le comportement des hommes en société.
C’est avec la même pitié que l’initié regarde
l’attitude triomphaliste du maitre du moment
et la posture de déchéance du vaincu du moment .
Le paranoïaque qui fait le « délire des grandeurs »
est un être « castré » du principe créateur :
le Verbe à l’origine de la transformation de
la matière picturale en formes préverbales
constituants du système du Langage dont
se sous-tient l’homme « socialisé ».
Le paranoïaque qui bascule dans délire
pour « fécaliser » l’être humain
est coupable du « crime contre l’Humanité » !
Le comportement tout-puissant du paranoïaque
est un « moyen de défense » pour contenir
la pression menaçante
de ses propres pulsions anales-sadiques :
en réaction au sadisme de sa mère.
La victime de la cruauté du paranoïaque
est le substitut de la propre mère de ce dernier.
La circoncision et l’excision symboliques sont
des « interventions » que l’être fondateur
de la culture et de la société
( investi par le Verbe)
conçut pour gratifier de la détermination
des sexes aux êtres « bisexuels » qui
se prenaient pour des dieux tout-puissants.
L’être humain est l’ « enfant » de l’initiation.
Les prêtres égyptiens avaient entrepris d’humaniser les hommes primitifs
à la faveur de l’activité initiatique
malheureusement ils furent interrompus dans leur mission civilisatrice
par l’intrusion intempestive et périodique des peuples barbares :
les Lybiens les Perses les Grecs les Romains qui l’essaimèrent et
et finirent par la phagocyter
L’humanité a longtemps vécu des legs de l’initiation égyptienne
que les Barbares jaloux a finirent par démembrer et partager l’essence.
Quand les barbares indécrottables finiront-ils par comprendre la nécessité
de l’ initiatique en cette période crépusculaire
de menace d’extinction du « feu » de la Civilisation des Pères-fondateurs ?