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Esclaves chrétiens, Maîtres musulmans: L'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800) Poche – 7 septembre 2007
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- Nombre de pages de l'édition imprimée432 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurBabel
- Date de publication7 septembre 2007
- Dimensions11.1 x 2.9 x 17.5 cm
- ISBN-10274276920X
- ISBN-13978-2742769209
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Description du produit
Quatrième de couverture
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Babel
- Date de publication : 7 septembre 2007
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 432 pages
- ISBN-10 : 274276920X
- ISBN-13 : 978-2742769209
- Poids de l'article : 100 g
- Dimensions : 11.1 x 2.9 x 17.5 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 17 666 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
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Les lecteurs trouvent le livre très complet, avec beaucoup de références documentaires. Ils le décrivent comme très intéressant, passionnant à lire et d'actualité. Ils apprécient sa lisibilité et mentionnent que le travail de recherche est sérieux et fouillé. Le contenu est précieux et restitue une partie de l'histoire dissimulée. Les lecteurs soulignent la qualité du travail d'investigation gigantesque. Cependant, certains trouvent les phrases parfois trop longues.
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Les clients trouvent le livre très documenté, complet et instructif. Ils mentionnent qu'il est décrit une vérité historique presque ou totalement méconnue, concentré sur 3 siècles. De plus, ils apprécient les nombreuses références documentaires qui permettent d'appuyer la qualité du travail de recherche.
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"En guise de préface, je me dois de dire que ce livre n'est pas un édifice facile à lire, quelquefois voire souvent fastidieux, il m'a fallut..." Développer
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- Avis laissé en France le 12 novembre 2012Formater: PocheAchat vérifiéEn guise de préface, je me dois de dire que ce livre n'est pas un édifice facile à lire, quelquefois voire souvent fastidieux, il m'a fallut reprendre des extraits du texte original mais cette chronique est faite avec bonne foi et conscience de la cruauté du sujet, aussi j'ai trouvé bon de ne pas commenter les nombreuses scènes de tortures épouvantables, parfois issues des imaginations les plus barbares en ces pays barbaresques.Ainsi fait, je vous laisse découvrir ce monde sans pitié aucune afin de rester dans les règles de notre site. Ce livre restant assez brouillon je pense que ceux qui l'ont commenté, chroniqué Oui je salue leur courage.
Christian, bonne lecture!
"En vingt années d’œuvre missionnaire à Alep, Bagdad, Le Grand Caire et Suez sur la mer Rouge, j’ai pu voir la misère infinie des pauvres Chrétiens accablés par la cruauté barbare des Mahométans."
Signé : Padre Baggio Di Turena (vers 1670)
Repenser l’Histoire de l’asservissement européen en Méditerranée au début de l’époque moderne, forme d’esclavage jusqu'alors négligée. Présenter l’esclave Blanc en Afrique du Nord pour affronter celui transatlantique avec par exemple les italiens esclaves des musulmans, la concomitance de ces deux formes esclavagistes, sans parler du classique esclavagisme en Egypte, Grèce, Rome, amérindiens du Mexique et d’Amérique Centrale. La chasse des Maures et d’Espagne du sud avec Isabelle et Ferdinand, Maures qui devaient trouver une nouvelle patrie proche du Maroc et en Algérie et finalement sur toute la côte de l’Afrique du Nord, ainsi que les sociétés islamiques qu'ils contribuèrent à créer eurent le projet de régler leur passif avec la Chrétienté et ce en capturant des hommes donc des esclaves. Ces Hommes avaient donc des propriétaires.
En Barbarie, outre le profit de l’esclavagisme Blanc on voyait le Jihad en réparation des torts de 1492 contre les siècles de croisades au nom de la lutte religieuse entre chrétiens et musulmans.
Les musulmans plus actifs prospéraient plus vite que les chrétiens. A l’époque où l’esclavage commença à faiblir, que l’esclavage africain à son apogée au XVIII) siècle ;
Philémon de la Motte selon qui les esclaves d’Alger ne sont pas si nombreux et si malheureux. (Paradoxalement, il dit : mais ils sont toujours esclaves, toujours haïs à cause de leur religion par contre toujours accablés de travaux).
Les cultures turques et maures ont créé les régences barbaresques, mais en aucun cas on ne saurait retirer aux esclaves leur humanité fondamentale, beaucoup ont souffert, beaucoup en sont morts.
Les questions de ce livre : combien y eut-il d’esclaves ? Comment se les procurait-on ? Quelle forme prenait leur asservissement physique et moral ? Quelle est la vie et la survie des esclaves. De même les états chrétiens de France de Toscane et de Malte asservissaient les musulmans et quelques fois les protestants. Par contre Alger figurait en bonne place dans les récits d’esclaves Blancs abondants entre le XVI° et le XVIII° siècle.
A cause de la présence à Rome de L’Eglise Catholique Romaine (E.C.R.) avec la côte méditerranéenne espagnole, les régions les plus durement frappées par les traitants corsaires et ce, pendant trois siècles entraînant une dépopulation certaine en y incluant la France. Mais la Grande-Bretagne, le Benelux et l’Allemagne (géographiquement à ce jour) furent aussi (moindrement) touchés.
Je cite Francis Knight 16 janvier 1631 : « Je suis arrivé à Alger, cette ville fatale pour tous les chrétiens et l’abattoir de l’humanité y compris d’enfants en bas âge. Combien de milliers (de chrétiens) ont disparus à cause de ces monstres ?
Knight fut réduit à l’esclavage pendant sept ans à Alger et sur les galères de ce pays.
Les anglais eux-mêmes furent capturés par les corsaires Normands dans des proportions non négligeables : mille esclaves pris par les anglais, trois-mille autres pris à Alger et mille-cinq-cents de plus à Tunis chaque année. Trois-cent cinquante-trois navire anglais furent pris par les algérois en dix ans (1672-1682). Flamands, français, portugais, espagnols et italiens furent frappés par la traite des >Blancs pendant le XVI° et le XVII° siècle.
Mais que dire de cette traite par rapport à celle transatlantique qui ne « touchât » que quelques dizaines de milliers de pauvres bougres chrétiens ce entre 1500 et 1800 !!! Et donc considérée comme « mineure » !
Pourtant certains affirment que l’esclavage Blanc fut une monnaie d’échange.
Certains autres évoquent l’hystérie européenne de la traite des Blancs, mais des chiffres sont là et incontestables.
1) Novembre 1593-Aout 1594 : 28 prise et 1722 captifs par Tunis.
2) 1628-1634 : les algérois prennent 80 navires marchands et 986 captifs en même temps ; 1628-1641 ils prirent 131 navires trois-mâts aux anglais et 2555 hommes de sa Majesté.
3) Les pirates venus de Tripoli prirent 75 navire chrétiens et 1085 captifs entre 1677 et 1685.
4) 1544-1554 : 17.000 hommes furent pris dans les terres, on dit que les pauvres chrétiens pleurent en cet Alger .
5) 1717-1740 :les pirates barbaresques turcs prirent de Madère jusqu’en Islande ! 7400 hommes chrétiens.
6) Fin du XVII° les corsaires volent sur les terres sans distinction de sexe un nombre inconnu d’hommes et de femmes.
7) Des prises de marins de grandes envergures seront listées en Europe au XVII° siècle.
8) Emmanuel d’Aranda, soldat Flamand annonce ce chiffre hallucinant : 600.000 chrétiens perdirent la vie entre 1636 et 1640 à Alger.
9) Pierre Dan contemporain d’Arando annonce qu'ils ont mis plus d’un million de chrétiens aux chaînes entre 1530 et 1640. Sans minimiser les horreurs de la traite transatlantique qui, en quatre siècles embarquent dix à douze millions de Noirs africains pour les Amériques ; Il ne faut pas non plus minimiser l’esclavage pratiqué à la même époque par les chrétiens sur les maures et les Turcs. Il n’y aurait que les espagnols qui auraient tenté des raids pour obtenir des esclaves musulmans, on ne peut le nier. Mais force est de reconnaître qu’après 1571, l’esclavage corsaire fut essentiellement musulman. En tout cas il est quasi certain que l’esclavage était basé sur la religion plus que sur la race.
10) 1518-1560 : Barberousse fait des raids esclavagistes impressionnants, batailles qui pouvaient chacune ramener plusieurs milliers de captifs pris aux flottes chrétiens à tel point : un chrétien valait un OIGNON !
La population d’esclaves algérois varie selon les chiffres donnés entre 1681-1687 allant de 5000 à 17000, 30000,40000 ! Ces estimations sont avancées par le Trinitaires et les Mercédaires, prêtres des ordres rédempteurs. On ne les croyait guère mais ceux qui dressaient des comptes d’esclaves n’avaient pas de raison d’exagérer, loin de là.
Les esclaves devaient travailler le plus souvent la terre et en comptant le nombre de lopins se situant entre 10.000 et 18.3000, ces lopins n’étant pas homogènes le nombre d’esclaves ne pouvait l’être non plus. Cela impliquerai 20.000 à 60.000 esclaves mais c’est sans compter les esclaves particuliers ou publics, ils étaient possession de l’Etat pour le plus grand nombre travaillant en ville ou sur des galères en partance quelquefois sur des chantiers de constructions. Toujours est-il que les corsaires se devaient d’ »alimenter » le nombre d’esclaves selon les besoins des Pachas ou du Divan ** Seules des captures nouvelles pouvaient combler l’érosion du nombre de captifs due principalement à la mort souvent prématurée. Ainsi nous instruit un captif de Tunis ? On nous maltraite on nous frappe à coups de bâtons, on nous affame on nous traite de chiens sans foi. On nous donne que du pain noir moisi, mais il faut travailler on nous fait même payer l’eau que nous buvons. Sur les galères on ne leur donnait pas à boire, les galériens allaient jusqu'à boire de l’eau de mer fatale, mourant sur leur banc. On ne les laissaient jamais s’allonger pour dormir acte fatal également.
La grande peste vint et ce sont 30.0000 à 50.000 personnes qui moururent à Alger, 30.000 à Tunis ces nombres sont toujours revus à la hausse par les historiens, néanmoins le Trinitaires rachetèrent 100.000 esclaves.
95.000 esclaves se sont convertis à l’Islam pour recouvrer un semblant de liberté.
Souffrant en outre gravement de la faim et des moult coups sur leur corps nu, beaucoup furent obligés de s’en remettre à la secte mahométane ou au paganisme de leur maître. Mais cela n’avait que l’effet de capturer de nouveaux esclaves pour pallier les renégats devenus libres (ou presque) de travail. En 1620 ; 900 esclaves devinrent mahométans pour échapper aux sévices et une cinquantaine de garçons furent circoncis malgré eux. Il fallait 1000 mahométans chaque année pour palier les morts.
Si l’on considère les 250 années d’esclavage corsaire qui connut une grande portée dans le monde méditerranéen le nombre total d’esclave excède le million.
Avec Barberousse, on compte 1.250.000 chrétiens Blancs asservis par les musulmans sur la côte barbaresque.
A cette époque chacun pouvait constater la désolation des côtes espagnoles, françaises et italiennes due à l’infestation acharnée de ces pirates : plages misérables, îles abandonnées, maison brûlées, pêcheurs enfuis, il ne restait plus personne sur les côtes .
LE BUT INCONTESTÉ ÉTAIT DE RADIER LE MONDE CHRÉTIEN ET DE L’ASSERVIR !
Les plus parlent encore d’une époque arrivaient en Sicile tous les jours, ils descendaient des galères par milliers s’emparant des jeunes filles et des enfants, des objets de valeur et de l’argent et dans l’espace d’un instant remontaient dans leurs galères et disparaissaient, le lendemain c’était la même chose et l’on entendait plus que les lamentations dit un témoin. Puisque ce n’est qu'en 1902 que cessèrent ces actes barbares !!
En fait de 1509 à 1810 on pourrait dénombrer près de 30.000.000 d’esclaves ! cf. notes diverses en fin du livre.
Réponse ouverte au sujet du titre de la chronique.
Point de boboïsme ici, le titre de mon commentaire est justifié par des recherches qui mènent un peu le sens de ma vie.
Rat de bibliothèques, je cherche à comprendre, comprendre ce qui peut sauter aux yeux pour les uns et rester caché pour les autres sans pour cela que ces derniers ne soient des sots !
Je ne suis pas frontiste bien au contraire, mais humaniste convaincu, aider son prochain, je le demande en palimpseste dans de nombreux commentaires, Hiver 54 n'a pas suffit dans notre pays, il en faut un nouveau chaque année, c'est bien ce qu'il se passe non ? Qui a t'il à voir avec mon titre de chronique ? Mais tout et le reste ! En France de nombreuses associations sont là pour en témoigner. Ce que j'aimerais démontrer c'est que d'autres faits sont là, mais seules des discutions comme celles-ci peuvent faciliter mon travail.
Nous avons la chance en France d'avoir des personnes comme Alexandre del Valle Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui ? : La nouvelle christianophobie... Le Totalitarisme islamiste à l'assaut des démocraties... Guerres contre l’Europe.....Islam Encountering Globalization et de plus nous avons sur notre sol un Observatoire Géopolitique de la Méditerranée, sans doute là pour faire beau ? Non, ami(s) -d'autres vont me lire je pense- en notre beau pays de France il y a peut-être trop de personnes qui vivent la tête dans le sable.
Mais, ici il y a quand même des gens qui pensent ! Mais bon sang est-ce que comme G. Perec je te demande de regarder ce qu'il se passe derrière ton papier peint, d'interroger tes petites cuillères ? Non, pourtant j'aime bien Perec ! Mais là le sujet est plus grave, nous parlons d'une hégémonie ! Mais je pourrais t'en dire un peu plus dans quelques jours car à la fin du mois, je suis convié à un dîner débat avec l'auteur précité (Alexandre del Valle, non pas notre défunt Perec) qui ne fait pas mon opinion à lui tout seul, certes. Je suis un homme "encore" jeune, mais une maladie me ronge, elle est à moi, que je puisse laisser une griffe dans le roc et non pas une trace de pas sur une plage, c'est ou ce devrait-être le but de chaque Humain...une autre maladie, je vais dire par humour ou dérision "zodiacale" également, de ce fait je ne projette réellement pas grand chose, tout en gardant cet intrinsèque volonté de vaincre. Carpe diem, non se battre ! Alors dans quinze jours, un mois, dix ans ? Le plus longtemps possible, et me voici également l'esclave d'une minuscule entité qui se développa sans trop se montrer, juste assez pour nous prévenir ! Ah triste comparaison, mais elle existe...
Vois-tu, pardon je te tutoies, mais peu importe, tu es mon frère, quelques soient tes opinions du moment qu'elles restent sans dangerosité pour nous, Hommes et Femmes de notre belle Patrie qui est la France et ce bien, bien avant qu'elle ne soit qu'une simple nation.
Puisque que je suis patriote et non nationaliste, je ne vais pas encore citer Jaurès, je vis à visage découvert, la photo sur mon espace, c'est bien moi mais en une seule année j'ai bien changé, sur mon épaule droite un perroquet, il n'est pas attaché, sous cette photographie le nom de Diogène, j'invite ainsi mes amis de France et du Monde à sortir de leur tonneau, de prendre une lanterne et de Voir, d’appeler, d’interpeller de nouveaux "Zolas" "Hugos" oui des "Jaurès" pour dire des "J'accuse".
Il s'agit bien de mon vrai patronyme sous lequel j'écris, il s'agit bien de ma véritable adresse mél dont vous disposez. Pose-toi cette question frère. Pourquoi m'exposer ainsi, pour flatter mon ego ? Certes NON, pour dire que notre pays se vit à visage découvert. Une fois réponse trouvée nous avancerons enfin, si toutes les conditions requises sont réunies car je n'oublie pas le sujet initial ! Des Esclaves...(Ils méritent bien une majuscule) il y en a encore et beaucoup, tu n'es pas sans avoir entendu parler des otages pris en terres appropriées d'office par des islamistes ou, je veux bien encore faire une nuance avec "ultra-islamistes", des femmes lapidées à mort, tuées d'une balle, femmes esclaves, femmes endoctrinées sur la terre de France et j'en passe ? Et si un jour il ne restait qu'un seul esclave ce serait encore beaucoup trop. Ainsi le titre de ma petite chronique n'a plus de mystère.
Et nous en arrivons là : je pense que ce chiffre de trente millions d'esclaves est en fait bien en dessous de la vérité ! Réfléchissez !:
Trois millions d'esclaves ? Mais non il faut au minimum décupler ce chiffre ! Je sais, et on me l'a déjà maintes fois dit, cela peut paraître inconcevable mais le chiffre, j'ai envie de vous dire : allez fouiner dans les bibliothèques de facultés, du C.N.R.S. et oui, même là, interrogez des professeurs intéressés par ce sujet, les autres, laissez leur raconter leur sauce poliment, dites merci puis partez en oubliant beaucoup d'âneries... Le problème de ce livre réside peut-être en son titre qui divise : Esclaves chrétiens / L'esclavage blanc et ce en plus sans majuscules... là juste un problème de sémantique. Oui, de mon côté j'évoque les batteries de navires, bateaux, galères ramenant 8000 prises d'esclaves par mois sur le pourtour sud et sud-est de la Méditerranée ! La loi Taubira répare une injustice et remet au jour des crimes atroces, la traite et l’esclavage,longtemps MINORES en France.
Je ne suis pas encore assez timide pour écrire à Madame Taubira, en excluant toute cause politique, et lui poser d'autres questions, croyez-moi c'est faisable !
Christian. Bien fraternellement.
- Avis laissé en France le 4 mai 2025Formater: PocheAchat vérifiéUn livre qui brise l'omerta sur le sujet. Oui les blancs ont également été victime de l'esclavage par les musulmans. Mais personne n'en parle, personne ne vient bassiner les arabes, leur demander de faire repentance et de s'autoflageller pour des siècles.
- Avis laissé en France le 29 octobre 2024Formater: PocheAchat vérifiéLivre très complet sur ce sujet. A lire absolument.
- Avis laissé en France le 1 avril 2025Formater: PocheAchat vérifiéSuper livre, qui traite d'un sujet bien connu sous un autre angle. On y apprend énormémant, le travail d'investigation est gigantesque. Livre idéal pour enflamer les débats entre amis, il convient parfaitement aux esprits nuancés.
- Avis laissé en France le 7 avril 2025Formater: PocheAchat vérifiébonjour,, livre parfait conforme à l'histoire ,à lire et relire merci
- Avis laissé en France le 28 décembre 2013Formater: PocheAchat vérifiéEsclaves chrétiens, Maîtres musulmans ou l’Esclavage blanc en méditerranée (1500-1800)/ Robert C. Davis/ Éditions Babel
Cet ouvrage extrêmement documenté est le fruit de dix années de travail de la part de l’auteur qui explique d’entrée que l’étude de cette forme d’esclavage a de tout temps été plutôt négligée, voire dédaignée, au profit de celle de l’esclavage noir transatlantique.
Cet esclavage blanc a débuté au terme de la Reconquista espagnole qui a en 1492 mis dehors du pays les derniers musulmans après sept siècles de pugnace résistance. Ce fut en quelque sorte une revanche des « Maures » chassés d’Espagne et qui dès lors construisirent des galères, attaquèrent les navires marchands européens, razzièrent les populations côtières et capturèrent les hommes et les femmes.
À cela il faut ajouter les attaques terrestres qui dévastèrent notamment la côte espagnole, les Baléares, la côte italienne, la Sardaigne et la Sicile à tel point que la population abandonna les côtes pour gagner l’intérieur et les montagnes. Ces raids terrestres se déroulèrent jusqu’aux portes de Rome en 1727 où sur 29 captifs, 21 étaient des femmes et des fillettes.
Cette forme d’esclavage avait un côté passionnel en plus d’être économique, la vengeance, alors que l’esclavage transatlantique eut une motivation essentiellement commerciale.
Les destinations des capturés allèrent de Salé (Rabat) à Tunis en passant par Tripoli, Fez, Constantinople, et Alger, le principal marché d’esclaves du Maghreb, où transitèrent jusqu’à 40 000 esclaves entre 1580 et 1680. Par la suite, l’esclavage corsaire s’effondra en raison de la présence d’une flotte armée impressionnante essentiellement britannique ; en 1830, on ne comptait plus que 122 esclaves à Alger.
Au total de 1530 à 1780, on peut estimer à trois millions le nombre des esclaves de diverses nations chrétiennes : Italie, Grèce, Espagne, France principalement. Ce qui représente à peu près le nombre d’esclaves transatlantiques déportés au XVIé et XVIIé siècle.
Les captifs étaient destinés à divers tâches : domestiques, galériens, ouvriers de carrières de pierres, mines de sel, coupe du bois, ouvriers agricoles. Ou bien ils étaient destinés à la revente ou l’échange contre une rançon. Cela dépendait des capacités physiques des sujets.
Il n’est pas douteux que les galériens furent ceux qui eurent le plus à souffrir, ramant du matin au soir et nuit et jour par équipes. Lors de la célèbre bataille de Lépante en 1571, sans doute la plus grande bataille navale de tous les temps, 80 000 rameurs des deux camps en plus des guerriers se firent front. Lépante, situé non loin du golfe de Patras en Grèce, marqua la fin de l’expansionnisme ottoman dominée par la flotte chrétienne réunissant les vénitiens, espagnols, génois, maltais et savoyards. Le désastre ottoman fut total et 30 000 combattants turcs perdirent la vie ce jour là (7 octobre).
Le rachat contre rançon effectué par les missionnaires et les prêtres fut un des effets pervers de la rédemption : « non seulement ils louaient par la suite les esclaves chrétiens pour les servir, mais également c’est de leur propre chef que les prêtres rédempteurs se rendaient au batistan et participaient aux enchères avec les marchands d’esclaves turcs et maures pour les captifs de fraîche date qu’ils souhaitaient racheter, en particulier les jeunes garçons et filles, car ils craignaient que leurs maîtres musulmans ne les séduisent sexuellement ou religieusement… Ces hommes et ces femmes passaient donc de la propriété d’un maître musulman à la tutelle des prêtres et de l’État. »
Une fois libérés, les asservis de retour au pays étaient conviés à des processions pour compenser le traumatisme et la profonde aliénation qu’ils avaient subis et réintégrer le tissu social.
Ce n’est qu’avec l’époque des conquêtes coloniales que l’esclavage des chrétiens en Barbarie prit fin.
Un essai, comme je le disais au début, très complet sur un sujet peu connu.
La lecture en est aisée mais parfois assez longue et fastidieuse car Davis a traité le sujet non pas comme un exposé scientifique, mais comme une épopée littéraire. Toutefois, cette lecture est facile est instructive et cet essai mérite cinq étoiles.
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