A l’époque où vécut le Christ des évangiles, il y eut de nombreux autres “Christ” en Asie mineure et dans le Proche-Orient. C’est du moins ce que proclame un livre passionnant, publié chez Robert Laffont par l’écrivain parisien, égyptologue, Jean Louis Bernard. Ce livre, intitulé: “Apollonius de Tyane et Jésus”, s’appuie sur une bibliographie très fournie se composant de thèses critiques sur Jésus, d’ouvrages modernes, de témoignages antiques, et surtout sur un ouvrage de base, sorte d’évangile à sa manière :
“Vie d’Apollonius de Tyane” par l’écrivain grec Philostrate, né à Lemnos vers l’an 175 de notre ère.
Apollonius, né à Tyane, eut lui aussi ses disciples, ses apôtres et fut lui-même disciple de Pythagore et héritier des mystères de l’Égypte. Il faut relever qu’à cette époque, le mot “Christ” était couramment usité: en grec, “Çhrestos” et “Christos” signifiaient: “le bon, l’oint”. Mais ce terme dérivait aussi phonétiquement de l’égyptien hiéroglyphique “khery-cheta”. “Celui qui domine le mystère”, “l’initié”
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