Les connexions précolombiennes avec l’Égypte pharaonique sont avérées: Parmi ces preuves figurent : dans le delta du Nil des centaines (au moins) d’anciennes momies sur lesquelles on a trouvé des résidus de cocaïne, extrait du coca qui ne fut jamais cultivé en dehors de l’Amérique du sud ; un maïs nord-américain dépeint sur les parois d’un tombeau de la 18e dynastie dans la haute vallée du Nil ; la découverte au début des années 1930 d’un temple dédié à la déesse égyptienne Isis au Tennessee, avec le nom-même de l’état se traduisant parfaitement par « le pays » (tenne) d’Isis (en grec, d’après l’original égyptien, esse) ; la statuette parfaitement préservée d’une autre déesse égyptienne, Bast, retrouvée sur Marco Island, au large de la Floride et aujourd’hui en possession de l’Institut Smithsonian de Washington, etc.
Ce qui figure peut-être comme la contribution la plus significative jusqu’ici à l’ensemble des preuves, a été découvert le 28 mars 2014. Selon le site « Before It’s News », « une équipe [britannique] d’archéologues sous-marins qui étudiaient une ancienne épave d’origine inconnue près de la côte orientale des Bahamas a découvert une grande statue en pierre dont la forme et le style ressemblent au Grand Sphinx égyptien… La base de la statue semble avoir porté une inscription, mais l’érosion a rendu impossible le déchiffrage ou l’identification en l’absence d’examen plus poussé.
L’article cite un membre de l’équipe, James Neilson, qui expliquait, « l’érosion causée par les éléments naturels, les coraux et les diverses formes de vie installées dessus ont perturbé nos tentatives scientifiques de datation, mais la nature du minéral utilisé dans sa construction confirme sans l’ombre d’un doute que la statue est originaire du Moyen-Orient ».
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