En Syrie et en Irak, entre Tigre et Euphrate, un pays de silence. Rien n’invite à chercher, à creuser. Rien sinon d’étranges briques gravées de signes abstraits en forme de coins et de clous. Les sables du désert avaient enseveli la mémoire d’une antique et brillante civilisation, née il y a plus de 5 000 ans et morte à la naissance de la nôtre.