Ces tribus noires africaines revendiquent une ascendance juive et observe des traditions sémites telles que des règles diététiques semblables à la casherouth, à l‘abattage rituel juif et aux rites de circoncision. Elle se prononce contre les mariages mixtes et garde des noms de clan à consonance sémite. Tudor Parfitt, réalisateur du documentaire les Les Juifs de Tombouctou (Mali)a rencontré les leaders tribaux et religieux des Lemba.
“Nous croyons que la plupart des descendants Noirs africains sont en fait d’anciens hébreux et que la plupart des Noirs sont les descendants des douze tribus d’Israël. Nous croyons que la véritable religion des descendants africains est le judaïsme et non l’islam, comme l’islam est une révélation pour les descendants d’Ismaël. ” écrit Solomon Guwazah de la communauté de Rusape au Zimbabwe, dans une lettre adressée à l’African Sun. Cette communauté concentrée à Rusape, au Zimbabwe, a une histoire peu commune. Elle revendique spirituellement, sinon génétiquement, sa descendance « d’une des douze tribus d’Israël ». Elle fait aussi remonter ses origines à 1903, à la suite d’une rencontre entre un ancien esclave américain nommé William Saunders Crowdy qui était aussi un ex diacre de protestants baptistes et un homme religieux nommé Albert Christian.
http://blackjews.net/infogene/les-juifs-dafrique-noire/
Les juifs noirs d’Afrique
- LES LEMBAS D’AFRIQUE DU SUD
- LES AYABUDAYA D’OUGANDA
- LA MAISON D’ISRAEL DU GHANA
- LA TRIBU DAN DE COTE D’IVOIRE
- LA TRIBU RUSAPE AU ZIMBABWE
- LA COMMUNAUTE JUIVE NOIRE DU NIGERIA
- LES FALASHAS D’ETHIOPIE
- LES JUIFS DU MALI
- LES JUIFS DU CAP VERT
- LES JUIFS D’EGYPTE
Les Hébreux noirs (anglais : Black Hebrews), sont un ensemble de groupes afro-américains considérant que les Israélites de l’Ancien Testament étaient en fait des noirs, et que les noirs actuels sont leurs descendants. Les thématiques de l’esclavage, de la délivrance, de l’exode, expliquent cette identification aux anciens Hébreux, et la thématique du peuple élu renforce la fierté noire.
Quelques similitudes entre les Hébreux et les Bantu par Muna IWIYE
La langue bantu la plus parlée est le Swahili (kiswahili) avec près de 100 millions de locuteurs en : Tanzanie, Kenya, Ouganda, République démocratique du Congo, Rwanda, Burundi, Comores, Mozambique, Somalie, Afrique du Sud (le shimaore parlé à Mayotte en est une variante).
Cette pluralité linguistique est apparente, car si même en Europe, on comptait chacune des variantes régionales, en France-Allemagne-Italie-Espagne, on arriverait facilement à plus de 200 langues, au lieu de 4, dite « officielles ». Un Français ne comprend pas l’Espagnol, mais c’est par étymologie qu’il peut décrypter des mots, Or chez nous, quelque fois, chacun parle dans « sa » langue, mais les gens conversent. Cela a été très détruit par le fait d’utiliser des langues étrangères comme « officielles » dans nos pays, en résultat de la colonisation, et je profite pour dire qu’il faut mettre un terme à cela, nous même. Les uns empruntent du vocabulaire au portugais, d’autres à l’anglais, d’autre à l’arabe, ou à je ne sais qui, et résultat, la langue ne ressemble plus à sa sœur. Je veux dire que le Yiddish n’est ni l’Hébreu, ni l’Allemand, ni le Polonais.
La signification du nom «bantou »
Le terme Bantou a été utilisé au milieu du XIXème siècle par le linguiste Allemand Wilhem C. Bleck, pour qualifier les peuples chez lesquels ba-ntu sert en général à nommer les populations (singulier : mu-ntu), et cela signifie HOMME (Être Humain). Chez nous en général on se désigne soit par le nom de l’ancêtre éponyme, le fondateur du village, ou même selon l’environnement où on vit, ou le métier dominant dans sa région à une époque. On a donc aussi bien : «les gens de la tribu de… », « les fils de… », « les descendants de… » et aussi : « les enfants de l’eau…», « les habitants de la forêt…», « les habitants du pied de la montagne… », etc. Au fait, comment appelait-on Jésus -Christ dans la Bible ? : non pas le FILS DE DIEU mais le FILS DE L’HOMME…Ah! (Le « Fils de l’Homme » est le titre que Jésus a employé le plus souvent pour se décrire à ses contemporains (plus de 80 fois))
L’ensemble des langues bantoues partage un vocabulaire commun, et elles sont caractérisées par l’utilisation des préfixes. Le préfixe « ba » est relatif aux personnes, exemple : BaTswana, la population, la langue s’appelle le SeTswana, et le pays le BoTswana, près de l’Afrique du Sud.
« Hommes » en plusieurs langues bantu.
langue |
| singulier | pluriel |
herero | Afr. du S., Namibie | omu·ndu | ova·ndu |
kinyarwanda | Rwanda | umu·ntu | aba·ntu |
kikongo | Congo, Angola | mu·ntu | ba·ntu |
lingala | Congo RDC/ Brazza, Centrafr. | mo·to | ba·to |
bassa | Cameroun | mut | bot |
duala | Cameroun | mo.to | ba.to |
luganda | Ouganda | omu·ntu | aban·tu |
shona | Zimbabwé | mu·nhu | va·nhu |
swahili | Afr. Orientale et Australe | m·tu | wa·tu |
xhosa | Afr. du S. | um·ntu | aba·ntu |
zulu | Afr. du S. | umu·ntu | uba·ntu |
tswana | Afr. du S. | motho | batho |
Ressemblance linguistique avec l’hébreux
Etant donné que je ne parle pas du tout l’Hébreux, mes comparaisons linguistiques seront limitées aux quelques rares mots que je connais, je m’excuse d’avance si quelquefois ce que j’écrirai en Hébreux est approximatif.
L’enfant dans nos langues se dit MUNA (ou mwana en swahili), et le pluriel de ce mot est BANA. Or en Hébreu, d’après ce que j’ai cru comprendre le mot BNAI, a aussi de sens de « Enfants, Fils », bien que le singulier soit différent du nôtre. Selon les variantes des langues enfants peut se dire Mo= Mu= Mon= Mun= Man= Mèn= Muan= Mwana=Muna= Mone, etc.
BANA (bantou) = BNAI (Hébreu) = ENFANTS, FILS de
Pour parler des enfants d’Israël, on dira BANA BA ISRAEL. Les Juifs sont aussi désignés pas BONAYUDA, « bona » signifiant famille, comme dans Bonabato, l’Humanité. Le terme « Muju » (lire moudjou, pluriel « Baju ») est quant à lui un anglicisme, Jew. Les Juifs Ougandais sont appelés les « Abayudaya ».
BANA BA ISRAEL (bantou) = BNAI ISRAEL (Hébreu) = FILS d’Israël
BONAYUDA (bantou) = BEN-YEHUDA (Hébreu)
Le samedi
Le samedi, est appelé dans notre langue ESABA, (éssaba), ou Esabasu, or ce mot est une contraction IDIBA’ ESA, c’est-à-dire le matin consacré au Rite ESA (éssa), un rite d’adjuration, pour se purifier, purifier sa maison, son pays, guérir, demander pardon, etc… Je ne connais pas la signification exacte du mot SHABBAT, qui correspond à SAMEDI, peut être Shabbat signifie prière, mais en tout cas c’est un jour de prière pour les Juifs. On a aussi d’autre rite, comme celui de la Paix (Musango), la pacification, la purification (sangisè), la réconciliation (Sangilanè), qui signifie aussi se purifier mutuellement, se pardonner mutuellement les fautes, car pardonner purifie.
La circoncision
Nos ancêtres viennent d’Egypte pharaonique. Il y a des similitudes entre les cultures bantou et juive, cela reflète peut être une cohabitation antérieure, puisque d’après la Bible les hébreux qui ont vécu. A propos de la circoncision par exemple, chez les juifs, c’est Dieu qui a demandé à Abraham de le faire. Nos peuples sont aujourd’hui pour la plupart christianisés, et pour certains islamisés. Mais la circoncision (bwendi) chez nous existe depuis la nuit des temps, donc pas par rapport à la recommandation de Dieu à Abraham, puisque ceux qui ont apporté la religion chrétienne chez nous, les pays colonisateurs (France, Grande Bretagne, Belgique, Espagne…) ne pratiquent pas eux-mêmes la circoncision dans leur culture de base, et se reposent sur le message de l’Apôtre Paul par exemple, qui la relativise, concernant les Romains. Or pour les bantous, ce rite est obligatoire chez les garçons.
Et d’ailleurs, complexe de « supériorité » oblige, peu de ces colons ont avoué avoir trouvé à leur arrivée du Monothéisme. Dans une croisade, on se donne des arguments de façade. Mais il est bien de s’ouvrir l’esprit et de s’intéresser à autre chose que ce qu’on nous sert tout le temps, un peu d’honnêteté de temps en temps ça ne fait pas de mal.
Le nom du Divin
Dieu s’appelle chez les bantou NYAMBE, ou Njambè. Et ceci est une phrase contractée « nja nu bè » ou par contraction « nja’m bè », soit Njambè, c’est-à-dire « Qui Est », ou alors « Celui Qui Est », car on dit que Dieu Est Celui Qui Est, il y a aussi la question « A quelle question l’Homme ne sait-il pas répondre ? Qui a crée Nyambé ». En langue Ewondo, c’est « Za’m be », donc Dieu se dit Zambe, On a la même chose en lingala Nzambé, en Kikongo Zambi, en Akan Nyamè, etc. selon les variantes linguistique.
Dans nos langues on a des sons nasalisés, comme : mb, mp, ng, nt, nz, nj…
Si on décompose le nom de Dieu donné à Moise, Yahveh (Nyambé), cela a surement le sens d’Être Celui Qui Est, ou alors c’est proche. Ce qui prouve que Dieu Unique, et qu’il révèle son nom à tout peuple que le lui demande, ou qui cherche son visage.
Le nom de Dieu peut aussi être prononcé Yambé = Ya’m be. C’est pourquoi les Hommes sont aussi appelés Soyambé, c’est-à-dire, les antilopes de Dieu, les êtres d’essence divine.
On ne peut pas avoir le son « n » devant de « b » donc il devient un « m », on a des sons nasalisés comme mb au lieu de b, comme c’est le cas dans le chiffre 7 saamba= saaba… Et beaucoup de langues utilisent le v ou le f à la place du b. Mais dans les langues d’Europe, le nom de Dieu ( Dios, « Zeus », God, Gott) n’est pas proche de Yahveh du tout.
Et que veut dire Moïse en Hébreu au juste ? Au cas où il a une signification en cette langue, ou alors ca pourrait être Mo Isis = Fils d’Isis, puisqu’ayant vécu en Egypte, Comme Paris est Per Isis. Et puis les liens de parenté attribués aux gens ne sont pas toujours ceux que l’on croit, pas forcément des liens de sang.
Le Fils du Père
Dieu est subtil, c’est le plus grand scénariste, metteur en scène. Il écrit son scénario, on est ses acteurs, et il nous regarde jouer.
Israel est « celui qui lutte avec Dieu » (Jacob lutta avec un envoyé de Dieu, un Ange). Mais il y a tellement de « jeu de mot » et de subtilité dans les noms. Qui peut lutter avec Dieu ??
Regardons ceci : IS = Isis, RA = Amon Rê, EL = Elohim. Qu’est ce que ceci renferme ?
Selon les Chrétiens, JESUS est le Fils du Père, donc le CHRIST. Dans la Bible par exemple, devant Ponce Pilate, quand il fallait relâcher prisonnier, le peuple avait le choix entre libérer BARABBAS (le «fils du père », charnel, celui que l’on voit) ; et JESUS-CHRIST le « Fils du Père » (spirituel, celui que l’on ne voit pas).
Bar = fils de , Abbas = Père. Tu dois choisir entre le fils du père… et le fils du père…
Quand tu as le choix entre l’EAU et l’EAU, tu choisis quoi ? Eh bien l’EAU, mais laquelle des deux EAU, celle qui selon toi est la bonne, mais encore faut il savoir ce qui différencie l’EAU de l’EAU. Je te répète ceci DIEU EST SUBTIL !!!
Chez les Bantou, on a la « notion » ou le principe du « Fils de Dieu » aussi, qui est appelé Jèki la Njambè Inono = Fils du Dieu Eternel. Il incarne la justice.
Et le principe de « Sa Mère », qui est appelée Issè, Comme Isis chez les Egyptiens Anciens, déesse de la Terre, ou Marie Chez les Catholiques. Mais Ceci est beaucoup plus antérieur à l’arrivée du Christianisme dans nos diverses contrées.
Femme et Lune
Femme et Lune sont indissociables chez les bantou. Modi (mwezi en swahili) signifie tout aussi bien le mois, la lune, la femelle. La lune (ngondo, ngonda, ngondè, etc.) est aussi synonyme de jeune fille, ou vierge (ngondedi). Tout ce qui a une forme sphérique (les rondeurs) chez nous est le plus souvent féminisé. Isis se dit chez nous Issè. Et on appelle la terre : SI, wase, sika, sikè, issè, missè, minyanGADu etc.
Le rapprochement entre les deux est du aussi au fonctionnement par cycles (cycle des femmes, cycle de la lune, cycle de l’eau, cycle de la vie même. Quand on se déplace sur un cercle, on retourne toujours à un moment donné sur son point de départ, et on recommence le même trajet, c’est pourquoi quand on laisse quelque chose sur le « chemin », de bien ou de mal, comme on est obligé de passer par là, on le recroisera un jour !!
Un proverbe ewondo dit : mininga ane mendim = la femme est eau. C’est pourquoi on vit dans l’eau avant de vivre sur terre, et la vie de l’homme est impossible sans eau. C’est pourquoi les Hommes sont aussi BANA MAYI = Enfants de l’Eau.
Issè donc, la mère de Jeki la Njambe Inono, est la déesse de la Terre, elle s’appelle aussi Sa ou Sô : elle représente le Savoir, l’Ingéniosité, l’Intelligence, la Culture, la Connaissance. C’est d’elle que viennent par exemple les verbes Sô : trouver, découvrir, détecter ; Sa : semer, cultiver, labourer ; waSa : chercher ; waSèlè : explorer. Etant la créativité et l’art, Sâ signifie aussi danser. Or Issè est également justicière, donc Sa renvoie à blamer, réprimander ; en effet, la justice enfante la justice. Une personne sage, intelligente, importante, est dite Samoto ou Kamoto (Sa + Moto=Homme).
La vie sur Terre est considérée comme un séjour. La TERRE est considérée comme une MERE, c’est celle qui nous nourrit, qui nous abrite, qui nous porte le temps d’un « séjour ». Toute femme a donc une part de Issè en elle, dans le sens où elle peut porter la vie ; en égyptien ancien Mut signifie : deésse mère, et chez nous Muto signifie femme. (Mutan, Mutu, Muto, Muso, Mwasi, Mwala, Muda, Mura, Minjuè, Menzui, Minga, Mininga etc.). Comme la Terre contient l’Homme en son sein, durant son « séjour » ; c’est ainsi que la mère nous porte en elle jusqu’à ce que l’on naisse.
Munja = épouse de = la mer (les grandes eaux)
source: http://www.terredisrael.com/hebreu-bantu.php
Une tribu africaine possède un gène juif rare
Les membres de la tribu Lemba parlent la langue des Bantous; ils habitent au Botswana dans le sud de l’Afrique. Une étude génétique a montré que les chromosomes mâles des membres de cette tribu présentent des gènes propres aux Cohen juifs. Selon la tradition de la foi juive, les Cohen sont des descendants du grand Cohen (sacrificateur) Aaron, le frère de Moïse.
Les membres de la Lemba, au nombre d’environ 50.000 personnes, sont des chrétiens. Selon leur croyance, un homme, s’appelant Buba, a conduit jadis leurs ancêtres hors du royaume de Juda. Ils circoncisent leurs enfants, ont un jour férié par semaine; et ils évitent de consommer de la viande de porc et de bêtes qui lui ressemblent, comme, par exemple, celle d’hippopotames.
Les racines juives de la tribu Lemba ont été découvertes par deux études. Le Dr Thudor Parpit, directeur du Centre des Etudes juives de l’Ecole londonienne des études sur le Proche-Orient et l’Afrique, a fouillé dans l’histoire de cette tribu, dont les membres croient à la tradition, selon laquelle c’est au départ du nord qu’ils sont parvenus à leur actuel lieu d’habitation. La même tradition veut qu’ils soient issus d’un endroit du nom de Sina.
Au cours de ses études, le Dr Parpit a pu retracer le parcours des Lembas, ce qui l’a conduit à la «ville sainte de Tarim», au Yémen. Cette ville était la colonie de l’antique communauté juive du pays. Là, il entendit de nouveau parler d’une tribu du nom de Lamba et d’un village appelé Sina. Il se rendit à ce village et dut constater qu’il était abandonné. Des indigènes lui dirent que le bruit courait que mille ans auparavant, la région était une vallée fertile irriguée par les eaux d’un barrage local. Un jour, ce barrage s’est rompu et les habitants ont dû fuir. Selon Parpit, les membres de cette tribu arrivèrent dans leur migration à la ville portuaire yéménite de Seichut. Il pense qu’il ne faut que neuf jours à un navire pour couvrir la distance entre ce port et les côtes d’Afrique du Sud.
Comme preuve de sa théorie, le Dr Parpit avance le fait que quelques-unes des tribus «Lemba» portent des noms à «consonance carrément sémitique». Deux d’entre elles s’appellent «Zadiki» et «Chamisi», des noms fort répandus dans les régions des colonies juives du Yémen.
La deuxième étude, qui établit aussi un lien entre les Lembas et le judaïsme, a été réalisée en 1977 par des généticiens américains, israéliens et anglais. Cette étude, dont nous avons déjà parlé il y a deux ans dans un de nos journaux, voulait se rendre compte si les Cohen du peuple juif contemporain sont bien les descendants du grand sacrificateur (Cohen) Aaron. Les chercheurs se basèrent sur le fait que les informations génétiques du chromosome Y, passant du père au fils, ne varient pas, abstraction faite de quelques mutations insignifiantes. Ces études relèvent, en effet, que, dans le milieu des Cohen, une formation unique de changements du code génétique se présente nettement plus souvent que chez les autres juifs. Cette formation, semblable à une signature génétique, ne se trouve pratiquement jamais chez des non-juifs. Les données rassemblées montrent que 45% des ashkénazim et 56% des séphardim. Cohen présentent cette signature génétique caractéristique. Dans la population en général, ce pourcentage n’est que de 3-5%.
Des recherches d’ADN chez les membres des Lembas ont montré que bon nombre des hommes présentent cette signature génétique des Cohen. Selon la tradition, les membres de la tribu Buba sont les descendants directs de cet homme qui a mené les Lembas en Afrique. La formation génétique caractéristique des Cohen a été relevée chez 53% des hommes de la tribu Buba. Ces pourcentages concordent avec l’apparition de cette formation dans la population juive.
Ce gène découvert chez les Lembas témoigne d’un «lien historique de ce peuple avec les anciens Hébreux», dixit le Dr Skorzky.
Black Jews: Les Juifs noirs d'Afrique et le mythe des Tribus perdues
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Features
Release Date | 2014-08-27T00:00:01Z |
Language | Français |
Number Of Pages | 320 |
Publication Date | 2014-08-27T00:00:01Z |