Nous venons de voir en conclusion du chapitre 3 que le christianisme tire de la pensée kamit de la période pharaonique l’essentiel de ses vertus. Les notions de naissance par le « Saint Esprit », de « trinité », de « sauveur » du monde, de « résurrection », même certains symboles, à l’instar de la couronne solaire au-dessus de la tête du Christ relèvent du culte du Soleil et de la physique quantique (des particules) pratiquée par les astronomes Kamit. Désormais, nous devons considérer que les sanctuaires « animistes » portent le sceau de lieux saints dédiés à la physique des particules dont la connaissance est déifiée.
On le constate, l’église romaine a simplement récupéré certains textes kamit plus anciens en les attribuant à Jésus Christ après les avoir soigneusement dessouchés. Elle n’a donc pas eu le temps et la patience d’apprendre et de comprendre leur portée symbolique, en rapport avec les sciences de l’Univers. Mais parce qu’il en est ainsi, nous pouvons pardonner.
Nous devons même pardonner parce que c’est la loi. De fait, au niveau des cultures humaines, nous jouons le rôle d’Osiris (commencement), puis celui de son fils Horus (la poursuite de l’expansion de la vie prescrite par les mythes et rituels africains). Vu sous cet angle, le monde nordique (occidental et arabe) joue le rôle de Seth des déserts. En mettant l’Afrique en esclavage et sous le joug colonial, ce monde nordique n’a fait qu’activer la haine osirienne de Seth dans la conquête du pouvoir. De fait, son paradigme de disjonction et d’exclusivisme lui a été prescrit par la nature, tandis que celui de l’Asie, le yin et le yang, procède davantage d’une synthèse ternaire du monde kamit et du monde nordique.
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