Mon rôle personnel dans cette quête a commencé en 1979, quand j’ai reçu en service de presse un exemplaire d’un livre intitulé Serpent in the Sky, de John Anthony West. Il s’agissait au fond d’une étude sur les travaux d’un égyptologue non conformiste du nom de René Schwaller de Lubicz, dont l’argument central était que la civilisation égyptienne avait quelques milliers d’années de plus que ne le pensaient les historiens. Schwaller avait consacré la dernière partie de sa vie à démontrer que les anciens Égyptiens possédaient «un vaste système de connaissance complet et en interrelation». Le passage le plus excitant à mon sens se trouvait en page 198 :
Schwaller de Lubicz a remarqué que la forte érosion du corps du Grand Sphinx de Gizeh est due à l’action de l’eau et non du sable et du vent.
Si le simple fait de cette érosion par l’eau du Sphinx pouvait être confirmé, cela suffirait à bouleverser toute la chronologie communément admise de l’histoire de la civilisation. Cela nous contraindrait à revoir entièrement l’hypothèse du «progrès» hypothèse sur laquelle se fonde toute l’éducation moderne.
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