Dieu nous parle en langage mathématique et la vie est une séquence numérique. Les KOUSHITES connaissaient son langage: ils ont inventé le système décimal et le système binaire sur lequel est basé l’informatique. Nos ancêtres ont compris que l’homme était un être cybernétique qui fonctionne comme un ordinateur, et rentre en relation avec tout ce qui l’entoure. C’est pourquoi, pour établir une communication verbale et non verbale avec la Déité, l’Homme se devait d’être en harmonie avec les Lois de l’Univers. Ainsi tous les monuments religieux étaient construits en fonction de la coudée royale, de pi et de phi (le nombre d’or) afin que ce qui est en bas soit comme ce qui est en haut: C’est à dire Parfait.
La plus vieille écriture est l’écriture méroïtique.

L’écriture méroitique cursive (au-dessus) ressemble à l’écriture égyptienne démotique. Ce qui attire l’attention au premier abord, c’est que lorsque nous regardons l’écriture nous remarquons la similitude avec les chiffres (1,2,3,4 etc)
Le Medou Neter peut être traduite par “paroles de Dieu”. Or cette appellation est donnée à l’écriture égyptienne. Une écriture particulière, le hiératique, était utilisée par les prêtes seuls par opposition aux caractères démotiques qui était ceux que le peuples pouvait lire et comprendre.
Le syllabaire Byblos , également connu sous le nom de pseudo-écriture hiéroglyphique présente de nombreux signes qui semblent dériver du hiératique (plutôt que des hiéroglyphiques). 2600 av J.C l’influence égyptienne à Byblos était forte: Byblos était le port principal d’exportation de bois cèdre à l’Egypte, et par conséquent il y avait une communauté marchande considérable égyptienne à Byblos. Ainsi, il est probable que le syllabaire a été conçu par quelqu’un à Byblos qui avaient connaissance de l’écriture hiératique égyptienne (Scribes). NB: N’oublions pas le caractère commercial de ces échanges et le fait de les chiffres facilitaient les calculs et le comptage.
On nous dit souvent que les chiffres arabes ont été inventés en Inde et qu’ils ont été empruntés par la civilisation musulmane à partir du 9 ème siècle, puis peu à peu transmis à l’Occident médiéval où ils ont mis plusieurs siècles à s’imposer.
Mais l’Egypte n’est-elle pas passée par une Période islamique de 640 à 1517?
Les premiers chiffres arabes sont représentés dans le codex Vigilanus ci-dessous
Ces chiffres “arabes” ne viennent-ils pas plutôt d’Egypte?
Nous verrons que le système décimale et le zéro ont bien existé il y a -2700 ans avant J.C en Egypte antique.
En effet, une pierre a été trouvée dans la pyramide à degrés de Saqqarah, qui a été construit par le célèbre architecte Imhotep par ordre du roi Zoser. Cette pierre de granit rouge, incrusté d’albâtre blanc, donne une représentation symbolique de la pyramide à degrés; les hiéroglyphes que cela signifie: “Secret de Zoser, le roi de Haute et Basse Egypte.”. Cette découverte sensationnelle également montré que notre système décimal était déjà connu des anciens Égyptiens, mais par certains adeptes seulement…

Le chiffre secret 7:
Si on lit ces signes comme des “chiffres”, alors 7, 917, 90146, 5032258, 6384 sont tous des multiples de 7 et lorsqu’on ajoute les chiffres des plus grandes diagonales on a aussi un multiple de 7 ( 6+0+0+1) (4+5+4+1)
Interprétation:
La déesse Séshat ou Sesheta est la maîtresse des écrits et des plans, responsables des calculs et de l’écriture. Associée au rite de la fondation des temples.
C’est la déesse de l’architecture, des écrits, de l’astrologie et de l’astronomie.
Sa tâche auprès de pharaon était de l’aider à établir les plans des futurs temples divins, en fonction de la position des astres.
La déesse Séshat est généralement représentée vêtue d’une peau de léopard, sur sa tête, un bandeau frontal une rosette à sept pétales ou une étoile à sept branches, elle est souvent représentée tenant son bâton de palmier entaillé, les entailles correspondantes au temps.
Voilà pourquoi le chiffre mystère 7 est associé à la construction de la pyramide de Djoser: c’est le chiffre d’or associé à la perfection dans la construction en tenant compte de l’astrologie et des mathématiques.
NB: Shesha est un serpent de la mythologie indienne et il est représenté comme un immense serpent ayant sept têtes.
Cependant ce n’est pas seulement Séshat qui est représentée par le chiffre 7. En effet, si nous regardons bien ce chiffre, il nous fait penser à un oiseau, l’Ibis sacré des Égyptiens qui symbolise THOT. Or THOT a des fonctions similaires à Séshat qui est considérée comme son épouse: Inventeur de l’écriture et du langage, Il est patron du savoir, il était chargé de former l’élite des scribes et des prêtres, gardiens du savoir ancestral. Honnête et intègre, Il préside l’audition des morts au tribunal d’Osiris et note le verdict de la fameuse pesée du coeur du défunt, sur les vignettes du Livre des Morts. D’après un texte d’EDFOU qui relate sa naissance “Thot créa le monde par le Verbe“; Il est assimilé au LOGOS (VERBE). De plus, le hiéroglyphe pour traduire Dieu (Neter) ressemble à un 7.
Le secret du Roi:
Il y a trois chiffres qui manquent à l’endroit où se trouve le cercueil, le sanduku en lingala ou le musheta en ciluba, le sarcophage (le grand sarcophage représente Khentamentiou” le maître des morts” rôle que remplira Osiris) où devrait se cacher le secret. Le texte en haut de la fresque “sStA n nsw-bit(y) Dsr dit:”secret du roi de la haute et de la basse-Egypte Djoser.
Le Nombre caché en bas est le 6377784 (car celui-ci divisé par 7 donne le nombre entier 911112): LA CLÉ DU MYSTÈRE EST LE NOMBRE 777.
Le rectangle noir dans lequel se trouve le sarcophage représente le royaume des morts et nous l’avons dit plus au la clé de “cette porte des enfers” est 777: les abysses de l’arbre de Vie.
777 représente donc le “tombeau” par lequel il faut passer pour atteindre la résurrection (l’illumination). Le Christ a dit: “Je suis la résurrection”. En grec, la résurrection s’écrit h anastasiV, nombrant 777. De plus, écrit en hébreu, Messie Orthodoxe, donne 777: he, mem, shin, yod, heth, daleth, taw et yod, ( 5+40+300+10+8+4+400+10 = 777).
Si nous ajoutons 7+7+7 nous avons 21 or selon une théorie, l’âme pèserait 21 grammes.
Par opposition au 666 qui représente la matière et la chute de l’Homme, le 777 représente la résurrection après la mort (physique et/ou symbolique).
Autres chiffres
Si nous ajoutons tous les chiffres de la dernières lignes 6+3+7+7+7+8+4, nous trouvons 42 or le nombre 42 est celui des dieux à affronter dans l’épreuve quand le défunt pénètre dans la salle des 2 vérités, la divine et l’humaine. En effet, Osiris est assisté de 42 divinités dans le tribunal funéraire pour l’aider lors du jugement du défunt.
Les 42 juges assesseurs sont nommés dans le Chapitre 125 du livre des Morts, lors du discours d’innocence prononcé à leur intention, mais c’est aussi le nombre de commandements de la Maât. (https://afrikhepri.org/les-commandements-de-la-maat)
LE PHARAON DJOSER nous a donné le SECRET DE LA RÉSURRECTION (777) en nous communiquant la CLÉ DU MYSTÈRE (7).
Conclusion
Dans la cabale, 168 est le nombre associé à Dieu, plus précisément à celui du messie; Or nous retrouvons notre clé dans ce chiffre (1+6=7) et (8-1=7) ou encore (6+8=14=7+7); mais ce qui donne l’importance à ce nombre 168 c’est le nombre 6 qui lui est associé puisque (1+6+8=15-1+5=6): 6 est représenté par le sceau de Salomon ou étoile de David: c’est l’Hexagramme
Dans l’Ennéade Héliopolitaine, le 6 est lié à Osiris.
En effet, dans l’ancienne Égypte la sixième Puissance était Tekh le coeur-conscience d’un individu qui était en rapport avec la plus haute partie de l’être spirituel son Ka supérieur. Sur un plateau de la balance était déposé le cœur du postulant, symbole de sa conscience et sur l’autre, la plume de Mâat: c’était la pesée de l’âme.
Le nombre 6 est donc en rapport avec le choix que nous faisons dans votre vie, à notre volonté et à notre libre arbitre pour atteindre la seconde naissance, la résurrection.
Le nombre caché 168 n’est donc pas synonyme de messie (associé à un personne, un sauveur) mais plutôt à un principe salvateur:
La Maat seule capable de « vaincre la mort » (tel que l’a fait Osiris), « renaître de nouveau » et avoir la « vie éternelle ».
le nombre 777 symbolise l’initiation existentielle (mort symbolique).
Le nombre 7 est la clé, le nombre d’or, l’intelligence créatrice qui permet équilibre et harmonie universelle. C’est le feu, l’étincelle qui permet à la bougie (Maat) d’éclairer les ténèbres (l’ignorance) lorsque nous employons le chemin sinueux et rocailleux de l’existence humaine (initiation terrestre).
CELUI QUI AVAIT VAINCU LA PREMIÈRE MORT (INITIATIQUE) ÉTAIT APPELÉ UN KRISTOS (« celui qui est oint » car il était, au cours d’une cérémonie, oint d’huile de crocodile) ET DEVENAIT AINSI UN WASIRE, UN AUSAR, (Osiris), UN RESSUSCITÉ (car il était né de nouveau): AUSAR-KRISTOS DEVINT IESUS-KRST PUIS JESUS-CHRIST…
Nb: Les pharaons étaient considérés comme des « Jésus-christ », des « envoyés » de Dieu sur terre pour permettre au peuple de suivre le chemin de Maat.
(Le terme mdw ntjr KRST (k3R3ST, Karast) « Celui qui porte l’Esprit de Dieu »
Ps: rappelez vous de la clé du mystère (7)