La sorcellerie est une science, qui est aussi vieille que le monde et elle a toujours habité l’Homme durant son évolution sur terre. En effet, depuis l’aube des temps en Afrique, comme d’ailleurs partout dans d’autres sociétés antiques, il n’y a jamais eu aussi meilleur héritage que la sorcellerie, chaque parent ou chaque chef de famille devait laisser à sa progéniture ou à ses descendants la sorcellerie familiale avec ses caractéristiques familiales liées aux totems de la famille. Ainsi la sorcellerie était toujours à la base du fondement de l’ancienne société africaine. La force de la famille était fonction du degré de sorcellerie de la dite famille et la société africaine a toujours vécu dans cette logique machiavélique jusqu’à nos jours. Cette science a façonné complètement, mais négativement la pensée de l’Homme noir en général et de l’africain en particulier, vouée toujours vers l’égoïsme, la jalousie, la haine viscérale, l’envie et le souci permanent de voir les autres souffrir et surtout trouver son bonheur dans les malheurs des autres. Ainsi, l’Afrique vit sur tous les plans ; politique, économique, culturelle, social et autres dans cette logique machiavélique. Alors cette attitude est devenue une mentalité collective, une habitude répandue dans toute la race noire et qui est aujourd’hui la cause causante qui a toujours causé le sous-développement chronique, d’abord mental et par la suite politique, scientifique, social, économique, culturel de l’Homme noir. Ce constat est plus que présent dans la mémoire collective des peuples, surtout forestiers à travers le monde et en qui existe une grande confusion sur la notion de société. Les peuples du monde et surtout noirs, qui n’ont point connu de royaume dans leur histoire, ont surtout cette mentalité rétrograde et bestiale.
Ainsi, pour pallier à cette carence mentale qui bloque en effet l’évolution et l’éclosion de la mentalité de l’Homme noir en général et de l’africain en particulier et surtout du congolais de Brazzaville, il faut un nouveau logiciel mental pour l’Homme noir, un logiciel mental voué vers le développement, vers le bien, vers l’évolution et surtout vers l’envie de voir son bonheur dans le bonheur des autres, une étape mentale atteinte déjà par l’Homme blanc et étape appelée : stade de l’Homme-homme.
C’est dans cette logique sociale primitive propre à l’Homme noir, que les Chefs d’Etats africains accèdent au pouvoir dans le continent, car chaque Chef d’Etat est l’émanation de son peuple. Ainsi, mouler dans une telle logique, une mentalité presque au stade de l’Homme-animal, les Chefs d’Etats dans ces conditions accèdent alors au pouvoir en Afrique, d’où leurs agissements plus que contraire à leur rang. Jusqu’à nos jours, la sorcellerie africaine est restée au stade primaire et primitif et elle est la caractéristique des dirigeants africains, à la différence de la sorcellerie de l’Homme blanc qui a évolué positivement avec l’évolution de la société de l’homme blanc.
II- Que signifie être sorcier ?
D’après le dictionnaire français Larousse, le mot sorcellerie est un mot féminin qui vient de l’ancien français : sorcerie et qui signifie, pratique magique en vue d’exercer une action généralement néfaste sur un être humain (sort, envoûtement, possession), sur des animaux ou des plantes (maladies, mauvaises récoltes etc.). Autrement dit, c’est une croyance qui prévaut dans certaines sociétés ou groupes sociaux selon laquelle que, certaines catégories de malheurs peuvent être attribuées à l’action malveillante et invisible d’individus. C’est une manifestation, un événement extraordinaire d’origine mystérieuse qui semble relever des pratiques magiques, des forces surnaturelles.
Ainsi, un sorcier (du latin sorcerius, c’est à dire diseur ou jeteur de sorts, du latin classique sors, sortus, sorti), est un individu soupçonné de se livrer à des pratiques de sorcellerie. Cette définition relève de la pensée de l’Homme blanc, dont la société avait déjà longtemps, non pas banni, mais mieux canalisé la sorcellerie comme science de société d’Homme. Mais en réalité qu’est ce que c’est la sorcellerie au sens propre et réelle de la chose ?
III- De l’école de philosophie du GISE
La sorcellerie n’est que la photocopie de la vertu perdue. En réalité, la sorcellerie n’est que, une chose taboue ou mystifiée. Elle est une culture qui dans les temps jadis caducs, apportait la solution à tous les problèmes de la société en particulier et du monde en général.
La sorcellerie est une initiation qui s’acquiert : volontairement ou involontairement. Elle sert de relation entre les mondes visible et invisible. Elle est divisée en deux grandes parties à savoir : Le Kundu ou dikundu qui signifie connaissance et le Kindoki qui n’est autre que l’utilisation du kundu, c’est-à-dire de la connaissance dans le mal.
NB : Ces expressions n’ont pas de synonymes en langue française, parce que ces deux sous-caractères de la sorcellerie, sont inconnus de l’Homme blanc, parce que la sorcellerie africaine de nos jours est plus que différente de la sorcellerie de la société européenne. En effet la forme ou le degré de négativité ou la capacité de nuisance de la sorcellerie est fonction du niveau de vie et de la pensée collective du peuple. Ainsi, il existe deux formes de sorcellerie : la forme de l’homme blanc, moins nocive, évolutive et celle de l’homme noir très primitive et très dévastatrice sur tous les plans.
La sorcellerie a existé depuis l’aube des temps et le sorcier était le guérisseur du village. En effet, la sorcellerie au départ était cette science initiée par les Créateurs à l’Homme, dans le seul but de lutter contre les influences ou contre les forces du mal, c’est-à-dire pour lutter contre les maladies et autres actions nocives des forces de la nature environnante sur l’être humain, d’où les sorciers dans la société primitive étaient également appelés guérisseurs. A titre d’exemple, dans les villages indiens de l’époque, les guérisseurs étaient appelés des sorciers, c’est-à-dire des gens spécialement initiées pour soigner et désenvoûter les malades et les captifs des forces du mal au sein de la société.
De nos jours en Afrique, notamment au Congo-Brazzaville et en RDC tout compte fait, le Kundu est la forme positive de la sorcellerie. Il donne à celui qui le possède ; la bienveillance dans et autour de soi, la sagesse, l’intelligence, le discernement et surtout l’amour du prochain. Le Kindoki, est la forme négative de la sorcellerie. Il incarne le mal dans sa grandeur, à l’être qui le possède. Tous les initiés sont des sorciers, et les initiés négatifs pratiquent le kindoki et les initiés positifs le Kundu ou dikundu. Le Kundu est synonyme du bien et par lui l’on gère positivement la société humaine, visiblement ou invisiblement. Le Kundu donne la capacité à l’être humain de rendre la vie favorable pour soi-même et aux autres. Le Kundu est une connaissance bien fondée sur la réalité réelle du monde.
Ainsi, la sorcellerie jadis était une bonne chose, et elle était conditionnée par des lois et principes, mais dans le seul but de soigner les maladies et de lutter contre les mauvaises influences. Elle était un moyen qui permettait à nos ancêtres de régler toutes les situations visibles et invisibles de la société. De nos jours, elle est diabolisée, à cause de son mauvais usage par ceux qui possèdent la dite science. Les sorciers sont très faciles à démasquer, car ils ont très souvent un caractère spécial sous forme, d’un orgueil sans précédent même quand ils sont pauvres et analphabètes, dans une assurance plus qu’étonnante.
En effet, la sorcellerie confère à l’Homme une fierté qui se traduit par un orgueil, une arrogance et une assurance sans fondement. Mais en réalité tous ces comportements sont consécutifs à cette conscience d’avoir un certain pouvoir invisible en soi. Effectivement, c’est cette conscience de posséder un certain pouvoir, qui suscite en l’Homme sorcier, cette arrogance, cet orgueil, cette sensation d’être au dessus des autres, de tout connaître même quand en réalité on a le niveau de CM2, nouvelle version scolaire congolaise.
Les sorciers utilisent leurs pieds, comme portes pour sortir ou entrer dans leur corps et par lesquelles on peut facilement les atteindre. En Europe, le Portugal et l’Italie parmi tant d’autres, sont des pays où la sorcellerie est très active.
En effet, les portugais pratiquent et beaucoup, la science de la sorcellerie, et la chair humaine est chez eux un aliment comme tout autre, les portugais sont pleinement dans la négativité, d’où la perte de leur hémogénie d’antan comme grande puissance navale ancienne. Le haut degré de sorcellerie enregistré en Angola, au Congo-Brazzaville et notamment au Kouilou et à Boko au Pool est l’œuvre initiatique des portugais pendant la colonisation.
IV- La Réalité du dessous du pouvoir politique en Afrique.
Le pouvoir politique en Afrique : Qu’est ce que c’est ?
Le pouvoir politique en Afrique est une parure que revêtent les hommes politiques, pour être honoré des hommes, donc du peuple. Le pouvoir politique est un symbole d’honneur pour les leaders politiques africains, c’est ce qui explique leur attachement au pouvoir de l’Etat et jamais ils n’admettent l’évidence qui s’installe à eux. Etre honoré par les hommes ou le peuple, est le propre de l’homme politique africain, il est prêt à tout même de tuer pour le pouvoir dont il est détenteur. Mais il oublie que c’est le peuple qui l’a élu. En Afrique, la politique dévoile une autre image que celle de l’Europe, si l’Europe et les autres pays de cette contrée ont réussi, c’est parce que l’homme politique de cette contrée a su faire la différence entre le pouvoir politique dont il est détenteur et l’autorité de gouvernance qui lui est octroyé pour commander et gérer le pays.
Drainer des masses populaires à sa guise, revêt une échelle qui dévoile le parcourt dans un processus politique très rude face à la politique en tant que système et faire à d’autres leaders. Mais en Afrique, les masses populaires sont utilisées comme bouclier pour se faire valoir par manque d’arguments.
Le pouvoir politique en Afrique détruit la conscience des hommes et leur fait perdre le sens de responsabilité, de maturité et surtout de prise de conscience, et ce qui explique le désordre et la mauvaise politique africain ne se bâtit que par la politique de propagande dans le seul but de favoriser l’agitation.
L’Afrique par l’homme politique, rend l’atmosphère invivable au sein de la société, parce que dépourvu de tout principes, car il ignore ses limites face à la masse populaire qui se joint lui.
Ainsi, dépourvu de tous principes et lois de la politique en tant que science, l’homme politique africain végète dans les slogans politiques sans fondement.
En Afrique la notion de politique est très méconnue des soi-disant leaders politiques africains, ce qui fait que la confusion est totale dans leurs cerveaux. Il y a décadence entre les idéaux prônés et les actes posés. Les leaders politiques africains pensent souvent que seule la politique confère en soi l’autorité ou donne plutôt le pouvoir de faire valoir les idéaux politiques. L’autorité ou le pouvoir de la politique n’est qu’un principe politique établit au niveau présidentiel et celui qui est élu à la magistrature suprême jouit automatiquement de cette autorité, donc du pouvoir politique et ses collaborateurs n’ont pouvoir que par lui, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent mettre en cause l’autorité du président élu. Mais en Afrique, c’est le contraire, l’on use de l’autorité du chef suprême pour causer le désordre en société et s’enrichir sur le dos du chef et de la population. Il est vrai que la politique est un art, et c’est pourquoi l’on juge le politique africain par ses œuvres qui émanent de sa politique, donc de son programme de société.
La politique est aussi une science comme toutes sciences et elle est régie par des principes et lois et çà, les hommes politiques africains qui sont loin d’être des intellectuels comme Gbagbo la honte de l’Afrique, Ouattara et Wade un vieux dépourvu de tout sens et forme de sagesse, l’ignorent. La politique en Afrique devient le symbole où tout un chacun apparaît pour dévoiler son incapacité, sa médiocrité et sa profonde imbécillité et manquement en réflexion, comme il est légion sur tout le continent et notamment au Congo Brazzaville, par des paroles qui n’ont point de fondement. D’où les mêmes discours médiocres et improductifs qui se répètent pendant plus de trente ans au pouvoir : C’est çà l’Afrique de nos jours. Tant que la notion de politique ne serait être comprise par les prétendus hommes politiques africains, difficile pour le continent de connaître un lendemain meilleur.
En effet, en Afrique, le pouvoir politique est un système à travers lequel, les élus du peuple imposent leurs lois personnelles et égoïstes au sein de la société. Justement, loin d’être une démocratie, la politique en Afrique est un dicta qui s’applique en société pour se faire écouter et se faire des honneurs du peuple.
Le pouvoir politique en Afrique, confère à l’homme politique africain une certaine autorité, mais ce dernier n’est point fiable au regard de la loi proprement de la politique. La politique en Afrique, n’a aucune éthique dans l’art de la gouvernance, tout au contraire, elle devient pour les hommes politiques africains, l’art d’impressionner, de paraître et surtout de s’enrichir. Mais aussi surtout, à faire valoir leur incapacité intellectuelle notoire à établir la bonne gouvernance.
En Afrique, la politique devient un luxe pour les hommes politiques qui s’y jettent, mais ils ignorent les principes que regorge la politique en tant qu’art. Car l’art en lui-même reflète le beau, le sens de la vie et de la société et en plus les valeurs de ce qu’il paraît aux yeux du monde.
Les hommes politiques africains, font de la politique, comme au Congo Brazzaville avec le PCT sans faute, un instrument de jouissance sans relâche dans cette pensée collective primitive, sauvage et plus que rétrograde de « lédza et lénua », dans la seule logique du ventre et du bas ventre et c’est ce qui explique cette attitude désinvolte de leur part à vouloir toujours piller les caisses de l’Etat et à s’éterniser au pouvoir, car en dehors de celui-ci, ils ne sont que des bourriques bon à rien, autrement dit des véritables parasites de la société .
Le pouvoir en Afrique en réalité, n’a pas de valeur, ni de sens et c’est pourquoi il est plus qu’et très difficile pour l’Afrique de connaître un quelconque développement
V- C’est quoi, le pouvoir politique en tout état de chose ?
Le pouvoir politique comme tel, est un pouvoir qui confère à un individu le droit et l’autorité de gouverner ou de diriger et de commander une nation, un peuple.
En effet, être à la tête d’un peuple ou d’une nation pour le gouverner n’est pas chose facile, mais en fait le tout se résume dans l’application de la volonté du peuple et satisfaire les désirs du peuple est la priorité pour un gouvernant. La politique créée parfois l’indifférence, l’égoïsme, on veut vivre pour soi, rien que pour soi et sa famille. La loi de la nature s’applique en politique, elle devient hostile et favorise certains évènements. Il est peut difficile pour l’homme de comprendre cela, mais elle (loi) agit selon les cris du peuple qui s’expriment à elle.
Le pouvoir politique devient un spectre lorsqu’on est dépourvu de maturité, de discernement et de maîtrise de soi comme au Congo Brazzaville. Alors, il vous hante et vous incite dans des actes affreux à l’égard de votre propre peuple, pourtant que vous avez la charge de gouverner. Cette hantise crée en soi des effets hallucinatoires et c’est pourquoi la folie de grandeur naît en certains dirigeants politiques. L’Afrique souffre d’un mal, celui du complexe, surtout des hommes politiques et c’est ce qui explique leur comportement quand ils sont nantis d’un pouvoir politique car pour eux tout est permis, même enfreindre la loi et c’est ainsi que cette race d’hommes souvent primitifs, résument le pouvoir politique.
VI- La politique en Afrique : Est-elle un frein pour le développement du continent ?
A fortiori oui, car elle est devenue un système politique destiné à un clan ou un groupe de personnes, une tribu ou une région pour s’enrichir illicitement au détriment du peuple. C’est ce qui explique que, partout en Afrique le décor soit le même. L’une des causes capitales dans ce constat, est le manque de connaissance de ces prétendus politiciens africains, et qui est d’ailleurs plus qu’un danger qui explique en fin de compte, que ces hommes politiques en Afrique constituent un obstacle pour l’évolution harmonieux de la société africaine.
En effet, en Afrique les hommes politiques confondent le système politique au pouvoir politique, ce qui explique que les africains par leurs dirigeants, ont épousés des systèmes politiques inadéquats avec la réalité de leurs sociétés. Ainsi, le pouvoir politique en Afrique devient un système de référence que l’on se fait soi-même d’abord en tant qu’homme politique et par la suite, et où l’on se crée l’exigence d’un plein pouvoir avec le droit de s’imposer au sein de la société.
En Afrique, il y règne une confusion totale bien sûr par les hommes politiques africains et par le pouvoir politique, il se crée une autre image de la politique dans le continent. La notion du pouvoir politique se divise en deux. Il y a :
–Pouvoir: Autorité, puissance ou droit d’exécuter.
–Politique: En ce sens, qu’il revêt le caractère de science et d’art de gouverner un Etat.
Si nous nous appliquons en ces définitions, nous comprenons fort bien que les hommes politiques africains, font mauvais usage du pouvoir politique sur le continent. En effet, pour les politiques africains, la politique devient un refuge pour voiler les insuffisances plus que criardes dont ils font preuve, et d’où le manque de sens de responsabilité qui les caractérise, tous face à la gestion de l’Etat partout en Afrique où le décor est le même.
Normalement, les règles du pouvoir politique sont établies en fonction du système politique choisit. En Europe et les autres pays, ces règles s’appliquent et c’est pourquoi en France par exemple, le système politique est le capitalisme qui implique une démocratie et qui démontre donc que le pouvoir politique a des limites au sein de la société et de son peuple. Contrairement aux pays de l’Est, où le dicta s’imposait avec une obligation de se soumettre aux lois, même si cela n’avait pas d’intérêt pour le peuple.
En matière de pouvoir politique, les limites s’imposent, mais pas pour l’Afrique où il n’y a aucune limite et c’est pourquoi nous disons : le pouvoir en Afrique est un système répressif dans le seul but de faire taire le peuple et autres citoyens dans la société.
En réalité, il est possible d’avoir un président africain non sorcier, mais à une condition que celui-ci soit nanti d’une connaissance spirituelle et traditionnelle bien fondée pour faire face aux multiples influences négatives autour de lui. En réalité dans la vie, tout se résume dans la Connaissance profonde d’une réalité réelle de la vie en elle-même.
En effet, ce qui pousse les présidents africains à pratiquer cette science négative qui est la sorcellerie, c’est la peur et en plus pour être influent devant le peuple. Le manque de Connaissance fait que les présidents africains se livrent aux sacrifices humains, tout d’abord pour se protéger et dominer les autres et surtout les opposants, pour être toujours au dessus de son entourage. Ainsi devenus insensibles aux douleurs des autres, ces Chefs d’Etats africains tuent délibérément et sans regret. La clé de ce comportement primitif et rétrograde des Chefs d’Etats africains, réside dans le manque connaissance car en effet, les majorités de ces Chefs d’ Etats africains sont dépourvus de toutes connaissances et c’est pourquoi ils se jettent aveuglement dans les loges sans pour autant chercher à savoir et à comprendre le fond de celles-ci. Cela aussi parce que :
-ils ne prient pas en réalité, même quand ils font semblant de le faire.
-ils font confiance aux fétiches, car il est difficile pour eux de vivre sans fétiches et sacrifices humains.
En effet, il est difficile de gouverner en Afrique sans être sorcier et c’est cet état d’esprit qui fait des Chefs d’Etats africains des potentiels sorciers et qui démontre qu’il est en réalité difficile, d’avoir un Chef d’Etat en Afrique non sorcier.
En effet, le fait d’accéder au trône suprême qui est la présidence de la république, automatiquement vous êtes initiés aux différents rites et surtout celui du sacrifice de la personne humaine
VII- L’Avenir de la Sorcellerie dans le monde !
La sorcellerie comme science de la société humaine, ne pourra quitter l’homme tant qu’il n’aura point atteint la perfection. En effet, elle migrera d’une société à une autre, d’un peuple à un autre sur terre, selon l’évolution ou la déchéance de la société ou du dit peuple.
En ces temps précis de l’histoire de l’humanité, caractérisés par la Renaissance de la Race Noire, la sorcellerie ira de la société où elle a bâti refuge vers la société en perte de vitesse quant au respect des mœurs humaines de la bonne conduite en société. En effet de nos jours, la sorcellerie est restée la science la plus aimée et la plus pratiquée de l’homme noir en général, de l’africain et du congolais en particulier. Elle est aujourd’hui la cause causante qui a toujours causé le sous-développement chronique et permanent du continent de l’homme noir. Mais avec la Renaissance de la Race qui pointe à l’horizon, la sorcellerie connaîtra dans la société de l’homme noir, inévitablement son déclin, ce qui accéléra justement sa renaissance. Par contre, la société de l’homme blanc, qui de plus en plus perd de vitesse dans la bonne morale sociale en épousant beaucoup de vices que de vertus comme, le nudisme public dans les plages, l’homosexualité et le mariage homosexuel, le sexe et la violence qui sont devenus le quotidien de l’homme blanc, sera le refuge futur de la sorcellerie en ce monde injuste et dur.
En effet, loin d’être une évolution de mentalité, le nudisme, l’homosexualité, le mariage homosexuel, le sexe, la violence et autres vices qui caractérisent actuellement l’homme blanc, ne sont qu’en ce millénaire spécifique de l’histoire de l’humanité, la démonstration pure et nette de la déchéance de la race blanche en général. Cette race, à cause de son évolution scientifique et technologique, a oublié en ces temps le rôle fondamental joué par la religion du Christ, donc Dieu-Iyahvé dans cette ascension scientifique et technologique. Ainsi, en épousant beaucoup de vices que de vertus, comme nous l’avons notifié ci-dessus, la société européenne attire en elle, beaucoup plus les esprits négatifs que positifs.
Ainsi, s’installent et s’installeront les conditions nécessaires et suffisantes pour une implantation durable de la négativité, donc de la sorcellerie dans la société de l’homme blanc.
Par ailleurs, l’implantation grandissante des africains et durablement dans la société de l’homme blanc, avec toutes leurs mœurs et coutumes très souvent voués le mal, avec tous ces marabouts et autres charlatans, l’homme blanc qui, de plus en plus se perd dans la dépravation de sa pensée, sera victime de l’influence de cette science : la sorcellerie africaine. En effet, cette société devenue robotisée de plus en plus par la science et la technologie, perd la fonction ou la capacité principale de l’homme terrestre: la pensée, l’élément qui fait de l’homme, un être humain. La perte de cet élément fondamental et qui fait de l’homme un être humain, inévitablement et inéluctablement fera la chute de l’homme blanc. D’où nous avons fait état de la déchéance imminente de la race blanche, du fait que le grand esprit a quitté leur monde à cause de cette dépravation grandissante en elle.
VII- Témoignage de l‘Esprit du Président Eyadema au Gise (Après sa mort pendant son jugement dernier).
Les présidents africains sont ainsi appelés sorciers, parce que le sacrifice humain devient le quotidien de leur règne et c’est par ce sacrifice qu’ils trouvent l’équilibre tout au long de leur règne et en plus la prise de sang humain qui est devenue monnaie courante. Il sied de notifier qu’ils ne deviennent pas toujours sorciers dès le départ, car très souvent ils appartiennent aux loges européennes, mais cela ne leur suffit pas pour être influent face aux multiples adversaires politiques et la masse populaire qu’il faut diriger. Très souvent les Chefs d’Etats africains sont souvent contraints d’ajouter pour leur présidence, le rite traditionnel qui est dans la plupart des cas machiavélique. En effet en tant que Chef d’Etat élu, on est soumis aux rites fétichistes du pays à travers les grands féticheurs de la nation et souvent c’est eux ces féticheurs qui font le sacrifice par le nom simple de l’adversaire du président donné.
Ainsi la majorité des Chefs d’Etats africains tuent au profit de leur pouvoir et en fin de compte mange la chair humaine, comme BOKASSA Ier, MOBUTU, EYADEMA et autres. C’est ce qui explique parce qu’habitué, ils s’accrochent au pouvoir, car hors de celui-ci ils n’auront plus cette facilité et capacité. En effet, ôté du fauteuil présidentiel, ils ne peuvent plus sacrifier comme avant, et aussi nombreux meurent parfois malheureux, le cas de MOBUTU. En sacrifiant la personne humaine, en buvant le sang humain et parfois en se lavant avec, tout ceci équilibre leur état physique et crée en eux l’influence dont ils jouissent devant leurs peuples et à cela ajouter le rite du sacrifice traditionnel qui se pratique dans les loges.
Le Président EYADEMA, par son esprit continue à témoigner en disant ce qui suit : Nous sommes le mardi 02 Avril 2011, il est 22heures 15mn.
« Durant mon vivant, j’ai eu un avantage avec le culte Vaudou, qui m’avait permis mes sacrifices humains ».
En effet, en dehors des loges européennes dont j’étais membre, j’étais aussi membre de la loge sorcière, qui est une structure dans laquelle la chair humaine se mange au su et aux yeux de tout le monde et le sang se boit comme de l’eau simple. Quant à l’initiation aux rites des sacrifices humains, on m’avait appris à être insensible face à la mort des personnes humaines et c’est pourquoi vous remarquerez les présidents africains ne vivent que du sang versé des personnes humaines. En fait, lorsque vous mangez la chair d’une personne, vous devez parler et dire ce que vous voulez de l’esprit du défunt, de sa chair. Le plus souvent, le cœur et le sexe, celui seulement de l’Homme est mangeable et, sont brûlés pour le sacrifice et le reste du corps est mangé. Les défunts BONGO, PATASSE, MOBUTU et encore d’autres, tous étaient sorciers comme Chefs d’Etats de nos pays.
La face cachée de la franc-maçonnerie aux présidents africains :
(Les dessous de cette loge du diable, devenue.)
Témoignage de l’Esprit du Président MOBUTU
SESSEKO KUKU WENDO WAZABANGA,
(Après sa mort et jugé au GISE)
Le Mardi 19 Juillet 2001 à 16h15mn
Je vais donc vous dévoiler les pratiques que j’ai eu à utiliser durant mon règne et d’où provenait ma puissance, dit le président Mobutu. Tout d’abord, je me suis emparé du pouvoir pour la première fois en étant Chef d’Etat major, mais cela n’avait pas duré car un an après je l’avais perdu. Il a fallu un second coup d’état pour accéder cette fois-ci au pouvoir définitivement. Et une fois au pouvoir, j’ai été soumis à plusieurs contraintes, sans oublier que mon accession au pouvoir fût rendue favorable avec l’aide des européens. Dans ces multiples contraintes, j’ai été obligé de tuer tous ceux qui faisaient parti du mouvement politique de LUMUMBA et avec d’autres que je mettais bien sûr en prison. Je voyais que LUMUMBA vivant, mon pouvoir allait connaître beaucoup de perturbations.
Etant déjà au pouvoir, je mettais très vite rendu compte que le pays à diriger était très grand, je me suis donc mis à sillonner toutes les régions en rencontrant tous les chefs traditionnels de chaque région. Alors à chaque passage des fétiches m’étaient donnés par ces mêmes chefs traditionnels et à chaque fois une cérémonie était organisée pour la circonstance où des bénédictions des ancêtres de chaque région m’étaient données. C’est ainsi que j’avais reçu tous les fétiches de chaque région de mon pays qui me permit de dominer la plupart des populations de mon pays, le Zaïre. Hormis les pratiques européennes, à vrai dire, la tradition a beaucoup joué dans mon règne et tout ce que j’avais eu, était symbolisé à travers la peau de léopard, qui signifiait la puissance traditionnelle que j’avais reçu de tous les vieux du pays et notamment des Bakongo.
A la question de savoir s’il était sorcier et avait mangé la chair humaine : l’esprit répondit en ces termes : « J’ai mangé la chair humaine et bu le sang humain et à maintes reprises. Cette initiation m’avait été faite par les Bakongo de notre pays et ils étaient de beaucoup pour moi et mon pouvoir. Il y eut un temps où je ne faisais plus confiance à la magie de l’Homme blanc.
Si mon règne a été celui qu’il a été, c’est à cause de cette pratique de sacrifice humain. Pourquoi croyez-vous que l’on puisse avoir un président africain non sorcier ? En réalité, très peut d’entre nous ne le sont pas, mais la prédominance est que tous en majorité le sont. C’est la raison pour laquelle j’avais sacrifié ma femme, je l’ai fait et j’avais mangé de sa chair dans notre monde mystique. Les Bakongos, m’avaient initié aux pratiques sorcières et au rituel du sacrifice humain, j’étais alors assisté par plusieurs féticheurs habilités à faire le sacrifice humain, chaque foi que le besoin se faisait sentir. C’est pourquoi en Afrique, ce n’est pas n’importe qui peut être président.
En effet, le sacrifice humain est plus que capital dans l’initiation sorcière, c’est une étape à laquelle nous Chefs d’Etats africains sommes soumis et ce qui explique les tueries pendant nos règnes et cela sans regret, parce que tout simplement habitués à sacrifier, à manger et à boire du sang humain. C’est pourquoi je répète que de nos jours, a avoir un président africain non sorcier est très très difficile, car nous devenons sorciers par volonté ferme de l’être et pour le pouvoir, que nous avons peur de perde. Mieux on s’explique, pour une meilleure compréhension.
En vérité les sacrifices que j’ai donc fait, m’ont été demandé pour l’équilibre de mon pouvoir et de mon être physique tel que : tuer ma femme et garder son corps dans la maison car son esprit me devrait être de beaucoup et ce qui fût fait. L’interdiction formelle me fût donnée pour la prochaine épouse, de ne jamais s’exprimer à la télévision nationale ou à la radio. D’où sûrement vous avez constaté durant mon règne, ma femme ne s’était jamais exprimée ni à la télévision, ni à la radio. Ainsi, je fus initié à la haute science africaine qui est autre que la sorcellerie. J’ai donc mangé la chair humaine plusieurs reprises, bu le sang aussi jusqu’à me laver avec comme je l’ai signifié plus haut. Tout cela parce que les vieux du pays m’avaient dit que la chair humaine donne la force et le sang humain rajeunit et à mon tour j’ai aussi initié d’autres Chefs d’Etats à ces pratiques.
Ainsi, ayant été fortement initié et après avoir ajouté les pratiques européennes, tout cela m’a permis d’imposer l’authenticité aux peuples zaïrois, d’ailleurs qui n’avaient présenté aucune résistance et vu cela, j’avais décidé d’ajouter à mon nom : MOBUTU SESSEKO KUKU WENDO WAZABANGA, qui signifie : Ancienne rivière qui coule et coulera toujours pour l’éternité et que l’on craint, contrairement à l’explication erronée que donnait le commun des mortels de mon pays. Comment expliquez-vous le fait que les présidents européens me craignaient-ils ? Eh bien, tout simplement parce qu’ils étaient conscients de la capacité du pouvoir traditionnel que je possédais, d’où j’étais toujours bien reçu et avec respect par eux chez eux. En effet, j’avais découvert le secret de leur loge ; la franc-maçonnerie. J’avais découvert que dans les loges où se trouvent les présidents africains, ceux-ci ignoraient que leurs pays y sont enfermés, comme l’est mon pays, le Zaïre et le vôtre encore, le Congo parmi tant d’autres sur le continent. Et c’est la réalité réelle, comme vous le dites souvent de cette loge devenue du diable, que malheureusement mes confrères chefs d’Etats africains ne veulent point comprendre par simple naïveté et imbécillité qui nous ont toujours caractérisés dans ce continent plus que maudit, malgré nos multiples richesses.
Vous remarquerez par exemple, que tout ce que la France impose à votre pays le Congo, donc votre peuple, vous l’acceptez toujours et sans rouspéter. J’avais pour mon compte des bagues, qui m’avaient été remises dans la loge maçonnique de Paris et une de l’Inde. J’ai eu à sacrifier plusieurs personnes, mêmes les miennes y compris les membres de mon gouvernement. J’avais très vite compris que ces loges européennes, ces blancs ne disent pas la vérité et le constat fait est que toutes nos pratiques traditionnelles sont plus puissantes que leurs objets métalliques qu’ils nous donnent et qu’il faut toujours renouveler la demande de fidélité à la loge où, au cas contraire, ils vous font croire la chute de votre pouvoir. J’avais très vite compris qu’il n’en était rien de toutes ces loges et elles ne font que mal à nos pays surtout pauvres, mais en nous faisons toujours abreuver de l’espoir qu’elles portent bonheur ces loges.
Sachez que, en tant que Chefs d’Etats africains dans ces loges, on nous demande des sacrifices humains, ce qui n’est point demandé aux leurs, c’est-à-dire les présidents francs-maçons blancs, car à eux, ils leur font tout juste signer un pacte de règne moyennant parfois par leur sang en échange ou de l’argent et quand le mandat prend fin, le pacte aussi expire. Mais contrairement, aux Chefs d’Etats africains il faut des vies humaines à faire mourir. Ce qui signifie, que s’il faut rendre compte à Dieu-Iyahvé le Créateur pour le sang versé dans la loge, seuls les Chefs d’Etats rendront compte, d’où le manque de développement de leurs états parce qu’ils ont les mains souillées, donc ne peuvent rien faire dans leurs pays, pendant que la loge continue à vivre de leurs sacrifices. C’est la ruse de l’Homme blanc devant la médiocrité, l’imbécillité, l’ignorance chronique et très contagieuse du naïf africain : l’éternel pseudo-intellectuel malgré parfois son niveau élevé. Quelle imbécillité !
En réalité, tous ces morts que nous donnons ne profitent surtout qu’à eux les blancs d’où leur développement harmonieux et permanent. Quant à nous qui donnons ces sacrifices, un petit objet nous est remis pour accroître notre foi en eux, donc à la loge. Alors, ayant découvert cette vérité, je ne voulais plus qu’un pays étranger quelque soit, nous s’impose au Zaïre des lois et surtout comment gérer notre richesse nationale, d’où le mécontentement de certaines puissances envers mon pays, le Zaïre et à ne plus vouloir nous aider moi et mon pays, économiquement, politiquement et même au plan social. C’est de là, que j’avais créé notre propre monnaie et qui malheureusement ne fût point soutenue, bien-sûr à cause de cela. Au fil des temps, j’avais donc de plus en plus eu confiance aux fétiches de mon pays, qu’aux petits objets métalliques de la loge maçonnique. Voilà comment, j’ai donc dirigé ce grand pays le Zaïre avec ses milliers d’habitants, ce que ne peut connaître, ni maîtriser ce petit actuellement au pouvoir : d’où ses difficultés multiples.
Avant d’oublier, je voulais ajouter quelque chose à propos des massacres du Shaba. En effet, j’avais organisé ces massacres au Shaba dans le simple but de redonner une puissance à mes fétiches, mais malheureusement les Chefs traditionnels n’avaient pas apprécié cela, car ils m’avaient fait comprendre que trop de sang était déjà versé et que je devais donc arrêter cette pratique machiavélique. Mais de mon côté, n’ayant pas respecté cela, bien-sûr par orgueil sûrement dû à l’euphorie de la réussite et du pouvoir, certains pouvoirs me furent retirés de tous les fétiches que j’avais reçu des Chefs traditionnels et c’est par là qu’avait débuté ma chute.
Quant à ma mort, vous la connaissez déjà, mais je voulais dire une chose. Sachez que tous les Chefs d’Etats africains qui sont dans les loges européennes perdent leur temps pour rien, car il n’y a rien de plus fort que sa tradition. Ces maisons mystiques européennes ne nous rapportent rien, si ce ne sont que les souffrances pour nos peuples. Tous les présidents africains mangent la chair humaine, sans oublier les anciens comme HOUPHOUET BOIGNY, BONGO, BOKASSA and compagny etc. Tous les objets métalliques qu’on nous donne dans ces loges à porter, n’ont aucun effet en réalité, mais ils nous font croire ces blancs, qu’ils ont une puissance et nous y croyons sans faute, par notre haut degré d’abrutissement et surtout de naïveté sans précédent, dans une imbécillité caractéristique de l’homme politique africain en ce 3èmillénaire.
« Pour finir, je voulais ajouter encore quelque chose : partout où il y a un monument construit sous mon règne dans le pays, il y a eu des personnes qui y ont été enterrées, mais souvent vivantes, donc à chaque monument et surtout dans mon palais à GOADOLITE ».
Fin du message, il est 17 heures passées de plusieurs minutes au Congo-Brazzaville, un pays où seuls les imbéciles, les bons à rien, les bourriques et surtout les étrangers ouest-africains réussissent toujours, un pays plus que méconnu par ses habitants : la Nouvelle Terre Sainte, dont fait état la bible dans le livre de l’apocalypse, en ce millénaire spécifique de l’histoire de l’humanité, caractérisé par l’ère du Verseau et celle de la renaissance de la race Noire. Ce jour, le président Mobutu, pour ne pas dire son esprit, est en surveillance permanente au Gise pour des raisons politiques et sociales pour le compte de la RDC.