Mon propos commence par un récit d’une histoire vécue. Il s’agit d’un conte énonçant le mécanisme de transmission du pouvoir à la chefferie Fondjomekwet. Si les uns et les autres se sentent exposer malgré d’énormes précautions prises ici, cela est indépendant de ma volonté. Et je ne doute pas que ceux qui se trouveront en droit de me reprocher, éprouveront en même temps la fierté dissimulée d’avoir été des protagonistes d’une histoire qui peut servir de contre-exemple dans une démonstration (pour le triomphe des valeurs de démocratiques) aux kémites et autres panafricanistes qui, il me semble, veulent inventer une forme propre de dévolution du pouvoir en Afrique. Si ce post peut paraitre, c’est justement à la faveur des libertés en gestation dans notre pays ; puisque nos amis en Chine et dans certains pays arabes sont frappés d’interdit par des moyens tant informatiques que judiciaires.
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